L’une des plus connues attractions de Moscou est à nouveau arrêtée sur décision du tribunal. « Moskovskaïa Pravda » précise qu’il s’agit de la grande roue « Moscou-850 » au Centre d’Exposition de Russie, l’ex-VDNKH. La grande roue a été déjà plusieurs fois arrêtée sur décision de la justice, mais chaque fois les propriétaires parvenaient à obtenir l’annulation des sanctions. Cette grande roue — la plus haute à Moscou — rapporte 150 millions de roubles par an, et ces temps-ci fait objet d’un litige patrimonial. La situation s’est aggravée l’été dernier, après un accident, lorsqu’on a dû évacuer plusieurs dizaines de personnes de la grande roue immobilisée. Après cet incident l’attraction a été fermée jusqu’à la fin de toutes les inspections techniques. Or les propriétaires sont persuadés qu’il est question d’une tentative de s’approprier cette attraction, rapportant gros. D’ailleurs, écrit « Moskovskaïa Pravda », cet été on contrôlait de plus petites attractions aussi, ce qui a diminué le nombre des accidents
Jusqu’à dix pour cent d’habitants de Moscou peuvent devenir dépendants aux jeux dans les temps qui viennent, alors qu’à présent cette proportion représente un peu plus d’un pour cent. Selon le journal « Gazeta », pour avoir raison de la manie du jeu les fonctionnaires de Moscou propose de fermer les clubs de loteries et de couper les internautes de casinos en ligne. Après la fermeture des formes traditionnelles on voit se multiplier divers nouveaux types du business des jeux dans la capitale. Actuellement six bureaux de bookmakers fonctionnent, un totalisateur s’apprête à s’ouvrir dans l’hippodrome. Selon la mairie, le nombre des établissements de jeux illégaux n’est pas important, depuis la fermeture des casinos dans la capitale seulement 9 clubs clandestins ont été repérés et fermés. Les loteries stimulantes prospèrent dans les clubs appropriés, leurs technologie est proche des salles de machines à sous, tandis que les impôts prélevés sont insignifiants, conclue le périodique « Gazeta ».
« RBK Daily » informe de l’arrêt de la production des vins mousseux par leur plus gros fabriquant — « Istok ». La société l’explique par le manque de fonds de roulement et de moyens financiers pour acheter des vignettes fiscales. Actuellement elle cherche à s’acquitter devant le fisc, qui réclame en justice la faillite de la société. Une nouvelle audience est prévue fin novembre. Ainsi « Istok » ne pourra pas se préparer pour les fêtes de Nouvel an. Selon « RBK Daily », les vins champagnisés disparaissent des rayons, et les consommateurs optent pour d’autres vins mousseux. Sans doute, « Istok » avec ses vins ne sera pas du rendez-vous pour la fête du Nouvel An.