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14 novembre 2014 5 14 /11 /novembre /2014 18:47

       Deux explosions criminelles se sont produites ce vendredi au Pakistan. Plus de 15 morts et 30 blessés – tel est le bilan préliminaire d’une nouvelle action sanglante des islamistes devant le siège du service de renseignement à Peshawar. En même temps un kamikaze a attaqué un commissariat de police dans une autre ville pakistanaise de Bannu, en tuant 5 policiers et en blessant 20 autres.

 

       Par ces actions les terroristes inspirés par les militants du mouvement Taliban réagissent à une opération anti-terroriste d’ampleur en province de Waziristân du Sud, limitrophe d’Afghanistan. Ils ont commencé leur revanche déjà en octobre, qui s’est déjà soldée à plus de 500 civils pakistanais morts. Peshawar est le chef-lieu de la province nord-ouest du Pakistan. C’est là que se trouve la zone dite des tribus, longeant la frontière afghane. Y ont trouvé refuge de nombreux islamistes d’Al-Qaïda et du Taliban qui avaient opéré en territoire du pays voisin. Pour cette raison Peshawar est devenu l’un des points les plus chauds au Pakistan, où les extrémistes effectuent régulièrement leurs raids. Le récent important attentat s’est produit à Peshawar le 28 octobre. Selon les médias occidentaux, il a été perpétré spécialement pour la visite dans le pays de la secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton. Alors Plus de 100 personnes ont péri et quelque 200 autres ont été blessées.

 

      La situation dans la région limitrophe est en effet compliquée. Les experts considèrent, toutefois, que les extrémistes sont encerclés. On les presse du Pakistan et de l’Afghanistan, estime Dimitri Verkhotourov, expert au Centre de l’étude de l’Afghanistan contemporain.

 

       Le Pakistan n’a pas de choix. S’il ne combat pas les talibans, alors les Américains le feront en territoire du Pakistan. Et on ne sait pas ce qui est mieux. Islamabad choisit de faire la guerre aux talibans.

 

        Et il n’est pas clair ce qui est pire pour les Pakistanais – combattre eux-mêmes les Talibans ou accepter des troupes étrangères sur leur territoire. A en juger d’après les faits, Islamabad opte pour la deuxième solution. Autrement dit, le gouvernement pakistanais combat les Talibans comme il le sait. Mais je pense qu’en principe les combattants rebelles – des Talibans et des autres – se sont retrouvés dans une situation difficile. Ils sont pratiquement encerclés. On les écrase en Afghanistan. Mais également au Pakistan. Selon les dernières données, L’Iran vient de se joindre aux opérations anti-terroristes. En fait, les islamistes n’ont plus ou aller.

 

       Le « Daily Telegraph » fait savoir que les forces armées pakistanaises appliquent avec succès une nouvelle tactique de lutte contre les talibans. Celle-ci inclut une utilisation massive d’aviation et d’équipements modernes. L’Armée cherche à établir un contrôle sur les hauteurs dominantes dans les régions montagneuses du pays. Pour s’emparer de ces positions, elle utilise des troupes spéciales, alors que dans les régions stratégiquement importantes, on crée des bases temporaires.

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14 novembre 2014 5 14 /11 /novembre /2014 17:14

        Un point est mis dans l’affaire de Vladimir Barsoukov-Koumarine, personnalité légendaire dans le monde criminel, « gouverneur nocturne » de Saint Petersburg. Selon le journal « Vremia Novostei », il a été leader du groupe criminel influent de Tambov ayant agi, notamment, à Saint Petersburg. Le groupe s’est emparé de plus d’« une dizaine d’entreprises de la ville, notamment de la société anonyme « Terminal pétrolier de Petersburg ». Les bandits sont condamnés à divers délais de réclusion. Le dossier de l’organisation d’un assassinat sera examiné à part.

 

        Le groupe criminel était composé de vingt membres. D’après les données de l’accusation, Vladimir Barsoukov-Koumarine était leader d’un groupe de readers. Les uns recherchaient des prête-noms qui devaient jouer le rôle des « clients honnêtes » des entreprises soi-disant en faillite qui enregistraient avec le concours des juristes les documents fictifs pour s’emparer sans problèmes d’une entreprise. Il y a eu un groupe spécial qui les légalisait. Les membres du groupe les vendaient les uns aux autres. Ainsi, les avocats des criminels avaient la possibilité de participer « en toute compétence » au procès. L’action en justice a été intentée en 2005 à la demande de la propriétaire d’un restaurant de St Petersburg qui a eu la possibilité de déposer sa plainte personnellement à Valentina Matvienko, gouverneur de la ville. Ce n’est qu’après cela que le dossier a été rendu public et le verdict a été prononcé, indique le journal « Vremia Novostei ».



        Une question s’impose : pourquoi de multiples crimes de ce genre n’ont pas été rendus publics et les mesures résolues en vue de les réprimer n’étaient pas appliquées ? » Nous avons adressé cette question à un juriste et à un législateur.

 

        Serguei Semachkine, juriste moscovite en vue, est convaincu que la situation a peu changé depuis le début du procès contre « le gouverneur nocturne » de St Petersburg. Beaucoup d’entreprises ne fonctionnement pas à plein rendement dans le pays. En ce qui concerne les restaurants, les établissements récréatifs, etc., c’est un paradis pour le crime organisé. L’essentiel, selon le juriste, ce sont les lacunes juridiques ou l’absence de législation.

 

       Le vice-président du Comité de la Douma d’Etat, chambre basse du parlement russe, Victor Ilioukhine partage cette opinion. Nous avons enregistré sa réponse par téléphone :

 

       «En réalité de multiples entreprises ne fonctionnent pas dans le pays. Leurs directeurs entrent parfois, en quête d’issue à la crise, en contact avec les criminels qui n’éprouvent pas le déficit de « main d’œuvre » dans la situation qui s’est créée dans le pays. Ils s’emparent des entreprises en recourant à toutes sortes de manœuvres. Cela porte le préjudice économique sérieux. L’immense quantité d’acteurs et de circonstances surgissent à l’issue des enquêtes. La Douma d’Etat propose de spécifier la responsabilité de tels crimes dans le Code pénal. Le readership est un phénomène compliqué. Il peut être « blanc » lorsque les entreprises sont transférées presque légalement, sur contrat ou « gris » (semi-légal) où bien « noir » faisant justement l’objet du Code pénal dont les articles appropriés ne sont pas finalisés. Nous autres législateurs devrons déployer les efforts substantiels dans cette voie », a déclaré Victor Ilioukhine.

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14 novembre 2014 5 14 /11 /novembre /2014 17:12

Moscou, 11 décembre

 

  185632546    Le dernier bilan de l'incendie qui s'est produit dans un dancing de Perm (Oural) dans la nuit du 4 au 5 décembre fait état de 142 morts, a annoncé vendredi le ministère russe de la Santé publique et du développement social.

       Selon le ministère, 88 victimes de l'incendie sont toujours hospitalisées dont 32 dans un état très grave. 57 blessés se trouvent dans plusieurs hôpitaux de Moscou, 20 sont soignés à Saint-Pétersbourg, quatre à Tcheliabinsk (Oural) et sept à Perm.

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14 novembre 2014 5 14 /11 /novembre /2014 17:10

Rostov-s/Don, 11 décembre

 

   185575602.jpg     Les technologies innovantes utilisées dans la région méridionale de la Russie doivent être protégées par le contre-espionnage russe, en raison de la menace que constituent les services spéciaux étrangers, a déclaré vendredi le chef de la direction régionale du Service fédéral de sécurité (FSB) Nikolaï Britvine. 

      "Les technologies innovantes sont menacées par les activités des services spéciaux à la recherche de secrets, par la concurrence déloyale, notamment celle des partenaires étrangers, ainsi que par la corruption", a indiqué aux journalistes M.Britvine avant d'inaugurer la réunion du conseil des dirigeants en charge de la sécurité du District fédéral du sud.

      Selon M.Britvine, "il y a des gens qui essaient de canaliser les importants moyens budgétaires vers leurs propres poches. La mission de organes de sécurité, qui doivent agir dans le cadre de leurs compétences, est justement de contrer ces menaces".

      Le conseil des chefs de sécurité de la région sud de la Russie a été créé il y a huit ans pour réunir les chefs des directions régionales du FSB, des gardes-frontières et des services de contre-espionnage militaire.

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14 novembre 2014 5 14 /11 /novembre /2014 17:06
    7075290-10830797.jpg     Jean-Paul Brighelli est fatigué de se répéter, et on le comprend. Ce normalien agrégé de lettres, longtemps professeur en lycée, s'est fait le chroniqueur du désastre scolaire français.

      Il se contente aujourd'hui d'un recueil d'articles de son excellent blog. Aucun n'a perdu de son actualité. Comme n'a pas pris une ride la Fabrique du crétin, publié il y a dix ans (Jean-Claude Gawsewitch Editeur). Parce que rien ne change : plus l'école décline, plus ses responsables accélèrent. L'actualité en donne de nouveaux exemples, avec la preuve scientifique de l'aberration des méthodes semi-globales pour l'apprentissage de la lecture - qui n'en continuent pas moins d'être appliquées - et la suppression des bourses au mérite, le travail et le niveau n'étant plus des objectifs, remplacés par la médiocrité pour tous.
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14 novembre 2014 5 14 /11 /novembre /2014 17:04
   thumb.small.104148 une femme voilee4    A Mossoul, deuxième ville d'Irak, que l'EI a prise début juin, les djihadistes ont exécuté mercredi trois femmes, notamment deux médecins, a indiqué Hanaa Edwar, une militante des droits de l'Homme qui dirige l'association Al-Amal.

        La mort des deux médecins a été confirmée par une source médicale à Mossoul qui les a identifiées comme étant Maha Sabhane et Lamia Ismaïl. La troisième victime, non identifiée, était diplômée en droit.
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14 novembre 2014 5 14 /11 /novembre /2014 17:02
   7075277-10830778.jpg    Par Jean-Pierre Maugendre, Renaissance Catholique. Il est à craindre que l'Islam ne soit effectivement le « communisme du XXIe siècle » comme, selon Jules Monnerot (1908-1995), le communisme fut « l'Islam du XXe siècle ».

        L'épuration religieuse dont sont victimes les chrétiens de Syrie et d'Irak suscite une très légitime indignation, néanmoins bien mesurée par rapport aux cris d'orfraies de la « communauté internationale » et aux mesures de rétorsion prises contre la Russie engagée dans l'imbroglio ukrainien. Si l'Arabie Saoudite est aujourd'hui un pays dont les citoyens sont unanimement musulmans c'est parce que, depuis la naissance de l'islam, les tribus juives ou chrétiennes alors installées dans la péninsule arabique ont été soit converties de force, soit massacrées, soit expulsées, ce qui est exactement le programme prôné aujourd'hui par les islamistes de l'EIIL (État islamique en Irak et au Levant). La situation est identique en Turquie où furent exterminés au début du XXe siècle plus d'un million d'Arméniens et de Grecs. 
Que faire face à l'islamisme ?

Face à ce déchaînement de violence deux attitudes se font jour. Il y a tout d'abord ceux qui expliquent que l'islamisme n'a rien à voir avec l'islam. Des spécialistes aussi renommés pour leurs connaissances religieuses que François Hollande, Laurent Fabius et David Cameron dénient ainsi à l'EIIL le droit de se proclamer « islamique. » L'islam, ils savent, eux, ce que c'est et ce n'est pas ce que l'on pourrait croire à l'écoute des témoignages parvenus de Mossoul ou de Fallouja. 

D'autres en appellent à une nouvelle croisade, tous unis contre l'islam sunnite ou plutôt uniquement sa version mésopotamienne car il n'est pas question de mettre en cause le Qatar ou l'Arabie Saoudite qui, grâce aux États-Unis, contrôlent une part non négligeable de nos approvisionnements en gaz et en pétrole et, à cause des errements de notre politique, détiennent une partie de notre dette publique par le biais de fonds souverains, ce qui se paie toujours à un moment ou un autre. 

Selon le célèbre juriste Carl Schmitt (1888-1985), toute puissance a besoin de se désigner un ennemi principal et de concentrer ses attaques contre lui. C'est l'application de ce principe qui a permis à Staline de faire main basse sur toute l'Europe orientale à l'issue de la seconde guerre mondiale. Est-il incongru de rappeler que le pape Pie XII ne souhaita s'associer ni à la croisade antibolchevique ni à celle des démocraties ? 

Il est à craindre que l'Islam ne soit effectivement le « communisme du XXIe siècle » comme, selon Jules Monnerot (1908-1995), le communisme fut « l'Islam du XXe siècle ». C'est-à-dire un système totalitaire, brutal, à vocation de domination universelle, oscillant sans cesse entre fatalisme quand il est dominé et fanatisme quand il est en position dominante. 

Réduire l'influence de l'islam en France

Face à cette menace, un minimum de cohérence intellectuelle et pratique semble nécessaire pour éviter de labourer la mer et éviter de nouveaux drames. Il est ainsi d'une urgence aigüe de réduire le poids de l'Islam en France. Envoyer des troupes traquer l'islamiste au Mali ou en Irak mais laisser les inspirateurs de ces comportements diffuser librement leur propagande chez nous est un non-sens absolu. Laisser ouvrir une mosquée sous contrôle wahabite ou salafiste en France, c'est préparer les djihadistes de demain au Moyen-Orient ou en Europe. Contrairement à ce qu'écrit M. Juppé dansValeurs Actuelles (n° 4059), l'islam n'est pas « une religion de France. » Il est une religion conquérante, d'implantation très récente sur notre territoire national, totalement étrangère non pas à d'aussi imprécises qu'obsédantes (du moins dans le discours officiel) «  valeurs de la République< /i> », mais à notre civilisation et à nos traditions. À cet égard nous sommes dans une relation de rapport de force avec cette religion qui, objectivement, œuvre, par des moyens détournés selon les circonstances, à la destruction de notre civilisation. Cela ne signifie pas, bien sûr, que chaque musulman est un ennemi effectif : néanmoins un musulman ne peut s'intégrer paisiblement dans la société française que s'il accepte, de bon ou de mauvais gré, une distanciation avec les préceptes de sa religion qui doit redevenir une affaire purement privée, sans manifestations extérieures, souvent ostentatoires, qui sont vécues par les uns comme des défis et par les autres comme des provocations. 

Cette lutte déterminée contre l'islam n'est cependant pas un blanc-seing accordé à son ennemi prioritaire, du moins officiel : les États-Unis d'Amérique et leur protégé au Moyen-Orient l'État d'Israël. Le mondialisme consuméro-libertaire et l'islamisme théocratico-terroriste sont les deux mâchoires d'une même tenaille qui s'efforce d'arracher leur identité aux peuples jadis chrétiens. L'alliance ancienne des États-Unis avec l'Arabie Saoudite, l'aide de la CIA aux réseaux Ben Laden, le soutien constant des intellectuels cosmopolites à l'arrivée sur notre territoire national de populations musulmanes, etc. peuvent conduire à s'interroger sur l'existence, ou non, d'une « ténébreuse alliance » entre ces deux idéologies unies dans une commune détestation des identités nationales et chrétiennes. Y a-t-il vraiment une différence d'horreur entre un avortement par aspiration ou par injection saline et une décapitation au couteau ? 

Saint Grégoire de Nysse (335-394) enseignait déjà que : « Le juste milieu c'est le chemin des crêtes. »Tous les théoriciens de la guerre savent qu'il faut éviter par-dessus tout d'avoir à mener une guerre sur deux fronts. Tout cela est vrai. Que l'acuité du danger islamiste à combattre ne nous fasse cependant pas perdre de vue que nos sociétés sont d'abord rongées de l'intérieur par des idéologies fausses qui, en affaiblissant nos identités, créent un appel d'air dans lequel s'engouffre l'islam militant. Ce sont les hommes et non les pierres qui font la force des remparts de la cité ! 

Jean-Pierre Maugendre

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14 novembre 2014 5 14 /11 /novembre /2014 16:56

        Le président de Russie Dmitri Medvedev a adressé le 12 novembre son Message annuel à l’Assemblée Fédérale ayant accordé, notamment, une grande attention au développement de l’économie russe ayant signalé la nécessité de la moderniser. Notre correspondante Youlia Pavlova a demandé au Conseiller économique et commercial de la Wallonie à l’ambassade de Belgique à Moscou Ivan Korsak de commenter cette partie du Message.

 

       C’était une interview recueillie auprès du Conseiller économique et commercial de la Wallonie à l’ambassade de Belgique à Moscou Ivan Korsak consacrée au Message du président de Russie Dmitri Medvedev à l’Assemblée Fédérale.

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14 novembre 2014 5 14 /11 /novembre /2014 14:14

        Dmitri Medvedev a adressé hier son deuxième message à l’Assemblée Fédérale. Le président l’a exposé pendant une heure 40 minutes, écrit le journal « Nezavissimaïa Gazeta ». Il a formulé en fait le programme de développement stratégique du pays pour les années à venir. Medvedev a averti les groupes d’opposition qu’ils ne devaient pas ébranler le bateau politique ayant critiqué la structure de l’économie russe dans un passé récent. « Dans le contexte de la montée des prix pratiquement tout le monde a eu des illusions qu’il soit possible d’ajourner les réformes structurelles », a-t-il dit. « Il est temps de moderniser la sphère publique, c’est le moyen de survivre dans le monde contemporain », a déclaré Dmitri Medvedev. Le président a promis dans le chapitre économique du message d’« appliquer les mesures en vue de prévenir la baisse du niveau de vie dans les monovilles » dont les habitants dépendent d’une seule entreprise et d’approvisionner tous les habitants du pays en médicaments accessibles et de haute qualité, de se soucier tout particulièrement des anciens combattants de la Grande guerre patriotique



        Selon le journal « Kommersant », Dmitri Medvedev insiste sur un « niveau plus élevé de développement de la civilisation ». Le président, écrit le journal, a avancé les initiatives les plus révolutionnaires dans le domaine éloigné, du point de vue du gouvernement, de l’économie. Medvedev a promis d’équilibrer les droits de l’école publique et privée et d’offrir des possibilités plus vastes de choisir les établissements d’enseignement.



        Le président a mis l’accent sur l’aspect politique. Selon le journal « RossiiskaÎa Gazeta », il estime nécessaire d’assurer une lente évolution du système politique. Medvedev est convaincu qu’il faut introduire les critères unis de la représentation des assemblées législatives des régions. Selon Dmitri Medvedev, les partis ayant gagné les élections régionales ne doivent pas collecter les signatures pour participer à la prochaine campagne électorale. Il faut renoncer en perspective à cette procédure pour tous les partis politiques, indique le journal.



        Selon le journal « Troud », à en juger d’après les projets d’envergure du président, il conçoit une refonte grandiose de l’économie. Les politologues interviewés constatent la coïncidence de l’idée maîtresse du message avec le mot d’ordre du président américain Obama « Nous avons besoin de changements ! » «Change we need».

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14 novembre 2014 5 14 /11 /novembre /2014 14:12

Bruxelles, 11 décembre

 

  185658908.jpg     L'Union européenne se propose de durcir les sanctions contre l'Iran, ont annoncé vendredi à RIA Novosti des sources diplomatiques à l'actuel sommet européen de Bruxelles.

       Les 27 entendent accorder sept semaines à Téhéran pour qu'il revienne à la table des négociations sur son dossier nucléaire. Dans le cas contraire, l'UE envisagera un durcissement des sanctions contre l'Iran.

        Réunis mardi dernier à Bruxelles, les chefs de diplomatie des pays de l'UE ont exprimé leur vive préoccupation face à l'absence de tout progrès aux négociations sur le programme nucléaire iranien. La déclaration approuvée par les ministres européens des Affaires étrangères portait sur l'adoption éventuelle de "mesures appropriées" si l'Iran continuait de ne pas coopérer avec la communauté internationale et  bloquait les négociations sur son programme nucléaire.

       Le 29 novembre dernier, les autorités iraniennes ont déclaré leur intention de construire dix nouvelles usines d'enrichissement d'uranium, ce qui a fortement préoccupé plusieurs pays occidentaux, les Etats-Unis en tête, accusant l'Iran de vouloir créer l'arme atomique sous couvert d'un programme nucléaire. Aussi ont-ils parlé de nouvelles sanctions à l'encontre de Téhéran.

        Néanmoins, la Russie estime toujours que les sanctions ne constituent pas un moyen efficace de pression sur l'Iran, que le potentiel des négociations sur le dossier nucléaire iranien n'est pas encore épuisé et que les six puissances chargées du dossier nucléaire iranien (Chine, Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Russie et Allemagne) devraient faire preuve de davantage de persévérance dans la recherche d'un compromis. 

 

        L'Iran est déjà visé par quatre résolutions du Conseil de sécurité de l'Onu, dont trois assorties de sanctions, pour son refus de suspendre l'enrichissement d'uranium, officiellement à des fins civiles, ce que mettent en doute les grandes puissances.

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