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Attali : un partisian acharné du mondialisme et de la fin des nations...

Tachkent, 21 avril

        Le président turkmène Gourbangouly Berdymoukhammedov a ordonné de "régler le  problème" du cratère gazier de Darvaz, dans le désert de Karakoum, qui brûle depuis une quarantaine d'années, ont rapporté les médias locaux.

         Ce cratère appelé "Porte de l'Enfer" gêne la mise en valeur industrielle de riches gisements de gaz situés dans la partie centrale de Karakoum", a expliqué le chef de l'Etat turkmène dans une déclaration.

         De 60 mètres de rayon et de 20 mètres de profondeur, ce cratère se consume depuis 1971 après des travaux de prospection menés sur place. A l'époque, une installation de forage s'y est effondrée. Pour sauver le derrick, les géologues soviétiques ont décidé de brûler d'abord le gaz contenu dans des cavités. Résultat, le cratère est en feu depuis une quarantaine d'années.       

         Mardi, le leader turkmène s'est rendu sur les lieux du cratère qui depuis l'époque de l'URSS a suscité l'intérêt uniquement de touristes étrangers, pour ordonner d'"élaborer un programme précis et fondé sur le plan scientifique en vue d'éliminer les anomalies existantes" empêchant la mise en valeur des richesses sous-souterraines du pays.

         Si aujourd'hui le Turkménistan produit 75 milliards de mètres cubes par an, il projette de tripler la production au cours des vingt ans à venir. Grâce à cet accroissement le pays pourra exporter le combustible bleu non seulement vers la Russie (principal importateur), la Chine et l'Iran, mais aussi vers l'Europe occidentale, l'Inde et le Pakistan.

Tel Aviv, 21 avril

         Le chef de la diplomatie israélienne Avigdor Lieberman, intervenant mardi devant les diplomates étrangers à l'occasion du 62e anniversaire de l'indépendance d'Israël, a mis en garde contre toute tentative étrangère pour imposer un règlement du conflit palestino-israélien et a estimé que ceci détériorera la situation dans la région.

"Toute tentative pour imposer une solution aux parties en l'absence d'une confiance mutuelle aggravera le conflit. La paix doit être bâtie et non pas imposée", a-t-il indiqué.

Ces propos du chef de la diplomatie israélienne font suite à des rumeurs selon lesquelles à défaut de dialogue entre les parties en conflit, les Etats-Unis envisagent de proposer leur propre programme de règlement.

"Nous devons former une nouvelle réalité qui reposera sur la sécurité pour les Israéliens, sur la prospérité économique pour les Palestiniens et sur la stabilité pour les deux peuples", selon M.Lieberman.

Toutefois le ministre israélien a de nouveau exclu toute division de Jérusalem, éternelle pomme de discord entre les deux peuples.

"Aujourd'hui, je me tiens devant vous et je répète la déclaration de Menahem Begin (ancien chef du gouvernement israélien, ndlr): Jérusalem est la capitale indivisible et éternelle du peuple juif", a déclaré Avigdor Lieberman.

Du point de vue du droit international, Jérusalem-Est ainsi que la Cisjordanie font partie des territoires occupés, dont le statut reste à définir par des négociations entre les deux parties en conflit.

Les Palestiniens voient Jérusalem-Est comme la capitale de leur futur Etat et refusent de se remettre à la table des négociations tant que l'Etat hébreu n'aura pas gelé la colonisation dans les territoires controversés.

          Saints Timothée et Maura ont souffert pour la Foi pendant la persécution de l'Empereur (284-305) Dioclétien. St Timothée est venu du village de Perapa (Thébaïde Egyptienne), et était le fils d'un Prêtre nommé Pikolpossos. Il a été un lecteur parmi le clergé de l'église, et aussi un gardien et copiste de livres du service divin. St Timothée a été dénoncé comme un gardien de livres chrétiens, que l'Empereur a ordonné d'être confisqués et brûlés. Ils ont apporté St Timothy devant le Gouverneur Arian, qui lui demandait de remettre les livres sacrés. Ils ont soumis le saint à d'horribles tortures pour avoir refusé d'obéir à la commande. Ils poussé deux tiges de fer chauffé au rouge dans les oreilles, à partir de laquelle la victime a perdu la vue et est devenu aveugle.

         St Timothée a courageusement supporté la douleur et il a rendu grâce à Dieu, de lui accorder de souffrir pour Lui. Les tortionnaires ont pendu la tête du Saint en bas, ont mis un morceau de bois dans sa bouche, et ils ont attaché une grosse pierre au cou. Les souffrances de St Timothy ont été si extrêmes, que même ceux qui ont torturé supplièrent le Gouverneur à l'aise sur la torture.

         Vers cette époque, ils ont informé Arian que Timothée avait une jeune femme nommée Maura, qu'il n'avait épousé que vingt jours avant. Arian a ordonné à Maura d'être amenée, dans l'espoir que, avec son présent, ils pourraient briser la volonté de St Timothée. St Timothy a exhorté sa femme de ne pas craindre les tortures, mais de suivre son chemin. St Maura répondit: «Je suis prêt à mourir avec vous,» et elle a courageusement avoué elle-même un chrétien. Arian ordonné que les cheveux sont arrachés de la tête, et de couper les doigts de ses mains.

          St Maura a subi le supplice de joie et même remercié le gouverneur de la torture, qu'elle enduré tant que son péchés pouvaient être pardonnés. Puis Arian donna l'ordre de jeter St Maura dans une marmite bouillante, mais elle ne se sentait pas la douleur, et elle est restée indemne. Soupçonnant que les fonctionnaires avaient rempli le chaudron avec les eaux froides de la sympathie pour le martyr, Arian a augmenté et a ordonné au saint pour éclabousser lui sur la main avec de l'eau de la vasque. Lorsque le martyr a fait cela, Arian hurlé de douleur et retira sa main brûlée. Ensuite, en admettant un instant la puissance du miracle, Arian confessé Dieu en qui Maura cru que le vrai Dieu, et il lui a ordonné d'être libéré. Mais le diable tenait encore un grand pouvoir sur le gouverneur, et bientôt il se remit à prier instamment St Maura pour offrir des sacrifices aux dieux païens. Ayant obtenu nulle part, Arian a été surmonté d'autant plus par une rage satanique et il est venu avec de nouvelles tortures. Ensuite, le peuple commença à murmurer et à exiger un arrêt de l'abus de cette femme innocente. Mais St-Maure, se tournant vers le peuple, dit: «Que personne ne me défendre. J'ai une Defender, Dieu, en qui j'ai confiance."

         Enfin, après les avoir torturé pendant une longue période, Arian a ordonné la martyrs pour être crucifié. Pendant dix jours, ils ont accroché sur des croix en face de l'autre.

         Le dixième jour du martyre des saints ont offert leurs âmes au Seigneur. Cela s'est produit dans les 286 années. Plus tard, une célébration solennelle de la sainte Timothy martyrs et Maura a été institué à Constantinople, et une église a été construite en leur honneur.

         Le transfert des reliques des porteurs de la Passion saints Boris et Gleb. St Boris (24 Juillet) était un frère du grand Prince de Kiev Yaroslav le Sage (1019-1054), et a été baptisé du nom de Romain. Le Prince Boris a été assassiné et a été enterré à l'église de St Basile le Grand à Vychgorod près de Kiev.

          Le Métropolitain Jean Ier de Kiev (1008-1035) et son clergé ont solennellement rencontrés les reliques incorruptibles du porteur de la Passion Saint Gleb et les ont placées dans l'église où les reliques de Saint Boris ont reposé. Bientôt, le lieu de sépulture a été glorifié par des miracles. Ensuite, les reliques des saints frères Boris et Gleb ont été retirées du sol et placées dans une chapelle spécialement construite. Le 24 Juillet, 1026 une église de cinq coupoles construite par Yaroslav le Sage a été consacrée en l'honneur des saints martyrs.

         Des années plus tard, l'église des Saints Boris et Gleb à Vychgorod contenant les reliques des saints porteurs de la Passion devint l'église de la famille des Yaroslavichi, leur sanctuaire de l'Amour fraternel et de service à la nation. Le symbole de leur unité a été la célébration du transfert des reliques de Boris et Gleb, a observer le 2 mai. L'histoire de la mise en place de cette fête est liée à des événements précédents de l'Histoire russe. Le 2 mai 1069 le Grand Prince Iziaslav, qui avaient été expulsé de la principauté pendant sept mois (Vers Septembre 1068) en raison d'un soulèvement du peuple de Kiev, est entré à Kiev. En signe de gratitude pour l'aide de Dieu dans l'établissement de la paix dans la terre russe, le prince a construit une nouvelle église pour remplacer une ancienne structure. Deux métropolites, George de Kiev et de Tchernigov Neophytus, a participé à sa consécration avec d'autres évêques, igumens, et le clergé. Le transfert des reliques, dans lequel tous les trois des Yaroslavichi (Iziaslav, Sviatoslav, Vsevolod) ont participé, a été fixée au 2 mai, et il a été désigné comme une célébration annuelle.

          Sviatoslav Yaroslavich, prince de Kiev au cours de 1073-1076, fait un effort pour transformer le temple saints Boris et Gleb dans une église de pierre, mais il a réussi à construire les murs seulement huit coudées de haut. Plus tard, Vsevolod (+ 1093) a terminé la construction de l'église, mais il s'est effondré par nuit.

          La vénération des saints Boris et Gleb développés pendant le temps des petits-fils de Yaroslav, produisant souvent une compétition particulière pieux d'entre eux. Sviatopolk fils de Iziaslav (+ 1113), construit reliquaires d'argent pour les saints. En 1102 Monomaque Vsevolod le fils de Vladimir (+ 1125), a envoyé des maîtres artisans de nuit et secrètement ornaient les reliquaires d'argent avec la feuille d'or. fils Sviatoslav Oleg (+ 1115) les surpasse. Il a été appelé "Gorislavich", et a été mentionné dans le "Conte de la campagne d'Igor". Il "vise à sensibiliser la pierre s'est effondré (église) et embauché certains constructeurs." Il a fourni tout ce qui était nécessaire.
<L'église était prête en l'an 1111, et Oleg "pressions et pria Sviatopolk de transférer les saintes reliques en elle." Sviatopolk ne voulais pas faire cela », parce qu'il n'a pas à construire cette église."

           La mort de Sviatopolk Izyaslavich (+ 1113) a apporté une nouvelle insurrection à Kiev, qui a failli tuer Vladimir Monomaque, qui était devenu grand prince de cette ville. Il a décidé de cultiver l'amitié avec le Svyatoslavichi par le transfert solennel des reliques dans l'église Oleg. "Vladimir a rassemblé ses fils, et David et Oleg avec leurs fils. Ils sont tous arrivés à Vychgorod. Tous les hiérarques, igumens, des moines et des prêtres sont venus, remplir toute la ville et il n'y avait pas de place pour les citoyens le long des murs."

          Dans la matinée du 2 mai 1115, le dimanche de la femme Myrhhbearing, ils ont commencé à chanter matines à deux églises, anciennes et nouvelles, et le transfert des reliques commença. Les trois ont été séparés. «D'abord ils ont apporté St Boris dans un panier, et avec lui se métropolite Vladimir et son clergé." Sur d'autres charrettes a St Gleb "et David avec les évêques et le clergé." (Oleg les attendait dans l'église).

          Cette séparation a été respecté dans les générations futures. St Boris était considéré comme un protecteur céleste de la Monomashichi; St Gleb, de la Ol'govichi et le Davidovichi. Lorsque Vladimir Monomaque parle de Boris dans son «Testament», il ne mentionne pas Gleb. Dans la ligne Ol'govichi, aucun des princes a reçu le nom de Boris.

          En général, les noms de Boris et Gleb, et donc aussi romaine et David, ont été estimés par plusieurs générations de princes russes. Les frères de Oleg Gorislavich été nommé Roman (+ 1079), Gleb (+ 1078), David (+ 1123), et un de ses fils a été nommé Gleb (+ 1138).

           De Monomakh étaient les fils Roman et Gleb, de Iouri Dolgorouki, Boris et Gleb, de St Rostislav de Smolensk, Boris et Gleb, de St Andrew Bogoliubsky, St Gleb (+ 1174); de Vsevolod Big Nest, Boris et Gleb. Parmi les fils de Vseslav de Polotsk (+ 1101) a été toute la gamme des "saints Boris et Gleb" noms: Roman, Gleb, David, Boris.

          Les sanctuaires Vychgorod ne sont pas les seuls centres à la vénération liturgique des saints Boris et Gleb. Elle s'est répandue sur tout le territoire russe. Tout d'abord, il y avait des églises et des monastères dans des endroits spécifiques en rapport avec le martyre des saints, et leur aide miraculeuse pour les personnes; le temple de Boris et Gleb à Dorogozhich sur la route de Vychgorod, où saint Boris est mort; l'Boris et Sts monastère Gleb à Tmo près de Tver, où cheval Gleb est blessé sa jambe; un monastère du même nom à Smyadyno sur le lieu de assassiner Gleb de et à la Tvertsa River, près de Torjok (fondée en 1030), où le chef de St hongrois George a été conservées [trans. note: le bien-aimé serviteur de St Boris a été décapité dans le but de voler le médaillon d'or que lui avait donné St Boris]. Églises dédiées aux saints Boris et Gleb ont été construits à l'Alta dans la mémoire de la victoire de Iaroslav le Sage plus Sviatopolk le Maudit le 24 Juillet, 1019; et également à Gzena près de Novgorod, où Gleb Svyatoslavich défait un sorcier.

           Les Ol'govichi et le Monomashichi rivalisaient dans la construction d'églises dédiées aux saints martyrs. Oleg lui-même, en plus de l'église Vychgorod, a construit la cathédrale et Boris Sts Gleb dans le Vieux Riazan en 1115 (donc, le diocèse a été appelé plus tard les saints Boris et Gleb). Son frère David a également construit à Tchernigov (en 1120). En l'an 1132 Iouri Dolgorouki a construit une église de Boris et Gleb à Kideksh au Nerla River », où le camp de St Boris avait été." En 1145, St Rostislav de Smolensk "mettre une église en pierre à Smyadyno», à Smolensk. Dans l'année qui suit la première (bois) et l'église Sts Boris Gleb a été construit en Novgorod. En 1167, une fondation de pierre a remplacé le bois, et il a été terminée et consacrée dans le 1173 années. Les Chroniques de Novgorod le nom du légendaire Sotko Sytinich que le constructeur de l'église.

           La sainte Passion Porteurs de Boris et Gleb ont été les premiers saints russes glorifié par les Eglises russe et byzantin. Un service pour les était composée peu de temps après leur mort, et son auteur a été St John I, métropolite de Kiev (1008-1035), où un Menaion de l'corrobore XIIe siècle. Les innombrables copies de leur vie, les comptes des reliques, les miracles et les éloges dans les manuscrits et livres imprimés de la douzième au quatorzième siècles témoignent de la vénération particulière de la sainte Boris et Gleb Martyrs en Russie.