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12 juillet 2012 4 12 /07 /juillet /2012 20:06

Moscou, 15 juin

 

   186899258.jpg    Le nombre de refugiés qui fuient les affrontements dans le sud du Kirghizstan, théâtre de troubles interethniques depuis le 10 juin, pourrait augmenter à 100.000, a déclaré mardi Miroslav Jenca, envoyé spécial du secrétaire général de l'ONU. 

        "Suite à des événements dans le sud du Kirghizstan, le nombre de refugiés pourrait augmenter à 100.000 personnes", a dit M. Jenca, cité par l'agence kirghiz 24.kg. 

        Selon le ministère ouzbek des Situations d'urgence, le nombre de refugiés a atteint mardi matin 83.000 personnes. 

       "Il est important que le gouvernement provisoire négocie avec toutes les parties intéressées et prenne une décision acceptable. Nous nous réjouissons du fait que la diplomatie populaire est en œuvre et qu'elle donne déjà des résultats. Il est primordial qu'une base pour la cohabitation stable de groupes ethniques soit créés au Kirghizstan", a remarqué M. Jenca. 

        Les troubles interethniques qui ont commencé le 10 juin dans la ville kirghiz d'Och (sud) ont fait 170 morts et plus de 1.700 blessés. Des milliers de refugiés ont pénétré en Ouzbékistan voisin. Les Kirghiz et Ouzbeks incendient des voitures, pillent des magasins et font irruption dans des logements. 

        Le gouvernement provisoire a introduit l'état d'urgence dans plusieurs villes et régions du sud du pays avant d'annoncer samedi la mobilisation partielle et d'ordonner aux forces de l'ordre de tirer sans sommation. 

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12 juillet 2012 4 12 /07 /juillet /2012 19:59

   thumb.small.Sciences_Po.jpg     Le directeur de l’Institut d’Etudes Politiques (IEP) de Paris, Richard Descoings, est incontestablement un homme étonnant : son travail de sape entamé il y a plus de 15 ans contre la culture et l’intelligence françaises, contribue aussi efficacement que durablement à la « fabrique du crétin » dénoncée par Jean-Paul Brighelli.

Discrimination positive, « globish » et théorie du genre

       Jugeons plutôt : en 2001, Descoings impose la création d’une voie parallèle d’entrée à Sciences Po en permettant à certains jeunes gens issus de lycées situés en ZEP, ayant des liens conventionnels avec l’IEP, d’intégrer l’école sans concours. L’égalité républicaine, que garantissait le principe du concours, était ainsi battue en brèche, au profit de l’instauration officielle de la « discrimination positive », oxymore constituant l’une des pierres angulaires du politiquement correct.

       Plus récemment, Descoings est désigné « Carpette anglaise 2009 » après avoir obligé les élèves à suivre de nombreux cours en langue anglaise tout en dispensant les étudiants étrangers de maîtriser la langue française pour intégrer l’IEP.

      Les étudiants de l’IEP ne sont certes plus tenus de parler français, mais ils doivent obligatoirement assister à des cours promouvant la théorie du genre, dans chacune des grandes disciplines enseignées à Sciences Po !

Une arme de destruction intellectuelle massive

       Fort de ce bilan encourageant, Sciences Po vient d’inventer une arme de destruction intellectuelle massive : la suppression de l’épreuve de culture générale au concours d’entrée à l’IEP. En quelques années, et avec la complicité des gouvernements successifs, Descoings aura réussi à transformer Sciences Po en Enola Gay de la pensée !

       A la culture de l’honnête homme, on préfèrera désormais les supposées fulgurances d’étudiants ballottés entre le prêchi-prêcha droitdelhommiste de l’éducation nationale et la culture de l’image et de l’instantanéité véhiculée par la télévision et les nouvelles technologies. L’épreuve classique de culture générale requiert une pensée structurée et argumentée aux antipodes des réactions émotionnelles et des indignations « morales » que ne manquera pas de valoriser le jury lors de l’épreuve orale d’admission. D’autant que la prime à la « diversité » jouera à plein : le fils d’agriculteur du Gers ou la fille de l’ouvrier de Forbach, ne seront pas jugés suffisamment « visibles ».

Changeons l’élite !

       Il s’agit, ni plus ni moins, de donner à notre pays une nouvelle « élite » : puisque l’on ne peut pas changer le peuple (quoique…), changeons l’élite ! Ou plus exactement, conservons son armature intellectuelle (l’idéologie libéral-libertaire et mondialiste), ainsi que ses représentants désormais traditionnels (les filles et fils d’enseignants ou de journalistes parisiens), et adjoignons leur des enfants d’immigrés, auxquels l’éducation nationale a délibérément refusé, depuis les années 1970, de transmettre la culture du pays d’accueil de leurs parents.

Cette sainte alliance entre bobos et « nouveaux français » n’est pas sans rappeler l’alchimie qui s’est effectuée au sein de troupes révolutionnaires, à partir de 1792, entre les officiers issus de l’ancien régime et les conscrits acquis aux idées nouvelles. Mais Descoings n’est pas Kellerman ! Il est plutôt de la trempe de Dumouriez, aventurier sans scrupules, qui s’empara un temps du drapeau tricolore et se vendit ensuite à l’ennemi, en contribuant activement à l’invasion de la France en 1814.

De Louis XIV au Monomotapa

      La forfaiture du directeur de l’IEP s’inscrit dans un mouvement plus large, empreint de relativisme culturel et de masochisme national : plus question par exemple d’étudier l’histoire en Terminale Scientifique ou Louis XIV et Napoléon au collège. L’heure n’est plus à la gloire, à la grandeur ou à la fierté : ces sentiments appartiennent à l’homme historique, et non à l’homme nouveau, cet homo oeconomicus post-historique, cet homme exclusivement mû par le désir du consommateur et la raison du technicien, et qui a renoncé à ce que Platon appelait le « thymos », c’est à dire le besoin de reconnaissance, l’estime de soi, en un mot, le Caractère. Pour Ernest Renan, « Le culte des ancêtres est de tous le plus légitime ; les ancêtres nous ont faits ce que nous sommes. Un passé héroïque, des grands hommes, de la gloire (j'entends de la véritable), voilà le capital social sur lequel on assied une idée nationale. Avoir des gloires communes dans la passé, une volonté commune dans le présent ; avoir fait de grandes choses ensemble, vouloir en faire encore, voilà les conditions essentielles pour être un peuple ».

        Que l’on ne s’y trompe pas : à côté de ce discours lénifiant, inspiré par des penseurs tels Jürgen Habermas, et destiné à séduire les petits bourgeois, toujours enclins au pacifisme et au culte de la faiblesse par lâcheté et par ignorance, émerge une valorisation outrancière de l’histoire et de la culture de certains pays. Ceux-ci ne sont pas choisis au hasard : le programme d’histoire de Cinquième consacre désormais ses deux chapitres, qui ne traitent pas de l’Occident, à l’Islam et à l’Afrique. Une large place est notamment faite aux empires africains Monomotapa et Shongaï, qui, chacun en convient, ont laissé dans l’histoire de l’humanité des traces autrement plus durables que le Château de Versailles, le Code civil ou Austerlitz.

Les Curés xénophiles du politiquement correct

       L’hémiplégie intellectuelle de l’idéologie dominante est patente : on dénonce ce qu’Alain Finkielkraut appelle « l’enracinement de l’esprit » au nom d’un universalisme qui se mue en cosmopolitisme ; identité et culture sont vouées aux gémonies lorsque celles-ci sont nationales et traditionnelles, lorsque leurs références et leurs valeurs sont constitutives du corpus français. Mais dans le même temps, les curés xénophiles du politiquement correct organisent et imposent le goût du lointain et le culte de l’altérité.

      C’est cela qui est visé par la décision de l’IEP de Paris : plus que LA culture (au sens universel et abstrait), c’est NOTRE culture (c’est à dire l’ensemble des éléments qui fondent l’appartenance du peuple français à son territoire) que les élites mondialisées combattent et dont elles voudraient faire table rase.

Donner le ton à toute la nation

        Emile Boutmy, fondateur de l’Ecole Libre des Sciences Politiques (ancêtre de l’IEP), appelait en 1872 à « créer l’élite qui, de proche en proche, donnera le ton à toute la Nation » : former des cadres au service de l’Etat et de l’intérêt national, tel était son objectif.

        Quel est donc le but recherché par ses successeurs ? Alors qu’Edmond Rothschild assénait en 1970 que « le verrou qui doit sauter, c’est la Nation », ces tenants de la gauche libertaire ne sont-ils pas les idiots les plus utiles et les serviteurs les plus zélés du capitalisme financier ?

       Etienne Lahyre 
21/12/2011

Etienne Lahyre est élève à l’ENA

       Pour apprécier la valeur du recrutement hors concours. Nous disposons d’un document brut : la lettre de motivation adressée à un grand cabinet de conseil par un « produit » de Sciences–Po issu de la « diversité »; un mélange affligeant de conformisme et de Novlangue d’entreprise dans un français approximatif…

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12 juillet 2012 4 12 /07 /juillet /2012 19:29

thumb.small.Pierre_Descaves_CR4.jpg      Par Pierre Descaves. Vous les voyez ces comiques troupiers s’agiter sur le devant de la scène pour tenter, une fois de plus encore, de vous tromper. La sanction électorale approche et il leur faut, de nouveau, nous faire croire qu’ils sont en mesure de stopper la décadence dans laquelle ils ont plongé, notre chère Patrie, la France.

      Comment peuvent-ils penser, ces clowns, que leur agitation frénétique puisse faire oublier leur gabegie, leur incompétence, et pour certains, leur corruption ?

       Le peuple sait parfaitement que notre économie a été transférée ailleurs et que le cruel chômage qui en est résulté a frappé nos familles de travailleurs.

       Les plans de redressement se succèdent et partout la détresse s’accroit, le malheur s’étend et la courbe du chômage progresse de façon inexorable.

       Nos concitoyens savent aussi, car ils ne sont ni sourds, ni aveugles, que la faillite financière est proche du fait d’une construction européenne irréaliste (27 économies, 27 fiscalités, une seule monnaie pour 17 d’entre elles).

      Nos élus ont, avec obstination, détruit notre organisation financière au profit de banques privées, cette finance anonyme (enfin presque) et vagabonde qui a pour objet de conquérir le monde, de l’unifier pour en faire un seul et unique marché après avoir détruit les nations, les cultures et les civilisations.

       Pour les naïfs qui pourraient que nos élus ne savaient pas quelles étaient les conséquences de leurs actes, qu’ils réfléchissent un tant soit peu sur l’origine de la dette qui met notre pays en péril de faillite.

       Pourquoi avoir accepté, en toute connaissance de cause, de supprimer le privilège de la Banque de France qui finançait, sans intérêts, les dettes de l’Etat ?

        Pourquoi avoir décidé que cette dette serait désormais financée par des banques privées, lesquelles, bien évidemment, seraient rémunérées ?

Et aujourd’hui, pourquoi s’étonner que ces banques privées, voyant s’approcher les difficultés de recouvrement de leurs créances, fassent progresser la charge des intérêts, lesquels progressent en fonction des risques d’insolvabilité des débiteurs ?

Les ahuris que nous avons élus ont réussi cet exploit, sans précédent, de faire progresser la dette de l’Etat à près de 90% du P.I.B., pour un critère de Maastricht, signé et juré de 60%.

A quoi servent donc les traités s’ils ne sont pas respectés.
Savez-vous, pauvres électeurs, sans cesse trompés, que sur les 1650 milliards d’euros de dettes 1400 milliards représentent ces fameux intérêts des banques privées prélevés au fil des années, alors que la Banque de France nous les auraient épargnés et que notre dette ne serait que de 250 milliards d’euros donc très largement en dessous du critère financier de Maastricht.

Sur le plan financier, ce sont nos élus irresponsables, incompétents, inféodés au mondialisme utopique, qui en sont responsables.

Mais ce n’est pas tout car, de surcroit, ces incompétents sont aussi des criminels qui ont entrepris de supprimer la souveraineté que le peuple avait reçu du Roi, en 1789 et de changer notre peuple par des apports de populations misérables venues du monde entier chercher sur notre sol les capacités de survie que les satrapes dirigeant leur pays d’origine leur ont enlevés.

Interrogez-vous, peuple de France, où est votre souveraineté lorsque les tripatouillages de la loi électorale font que vous devez obligatoirement élire un de ceux ayant reçu l’investiture des deux partis oligarchiques qui se sont réparti le pouvoir depuis 1945. Tantôt vous devez voter, obligatoirement et majoritairement, U.M.P. et tantôt vous devez voter P.S.

Les alliances les plus invraisemblables conduisent à ce regroupement. Le P.C. qui ne veut plus « plumer la volaille socialiste » se rallie au vote P.S. , comme le fait aussi le parti des utopistes écolo qui voit chaque jour la terre disparaître soit par le trou (inexistant) dans la couche d’ozone, soit par un réchauffement climatique illusoire mais, oh combien, rémunérateur pour les petits malins qui en sont à l’origine.

Construisons des éoliennes qui ne servent à rien, des ampoules basse consommation qui éclairent encore moins que la lampe à huile des temps anciens, des véhicules électriques qui doivent remplacer des millions et des millions d’automobiles de la planète.

Tout cela n’est pas gratuit. Il faut payer, encore payer, toujours payer et qui en profite ??

Je vous le demande et réfléchissez un peu vous le saurez aussi.

Enfin ces utopistes intéressés ont trouvé le moyen de vendre du vent.

Au motif toujours, du réchauffement climatique qui n’existe pas, il faut juste arrêter de polluer en réduisant les émissions de gaz carbonique dans l’atmosphère.

Alors là, l’imagination des pirates de l’écologie, a atteint un sommet. Ils ont imaginé de commercialiser le « droit de polluer ».

       Les entreprises non polluantes vont pouvoir vendre des « droits de polluer » à des entreprises qui polluent au delà des normes.

       Ainsi, après avoir paye et bien sûr, commissionné l’intermédiaire obligé, l’entreprise va pouvoir continuer à polluer comme par le passé.

Notre peuple, dirigé par de tels illusionnistes a perdu l’ensemble des attributs de souveraineté.

        Sont passés, ailleurs qu’au Parlement français, le pouvoir économique, le pouvoir financier, le pouvoir legislatif, le pouvoir judiciaire exercé au sommet, non plus par la « Cour de Cassation » et par le « Conseil d’Etat » mais par la «Cour Européenne de Justice » qui va nous condamner, nous obliger à verser des indemnités, nous couvrir de pénalités pour des directives irréalistes venues d’ailleurs.

        Et ce n’est pas tout, regardez autour de vous, visitez certains quartiers de nos villes, ce n’est plus notre population d’origine européenne qui y vit, c’est celle importée avec sa culture, sa religion rétrograde arrêtée à l’an 632 à la mort du prophète.

       Ce sont des enclaves étrangères qui s’étendent, de proche en proche, de même que le cancer gagne peu à peu toutes les parties du corps.

Il est temps, il est grand temps, d’arrêter cette dégringolade dans un abîme sans fond.

       Il est temps, il est grand temps, de se ressaisir et de renvoyer tous ces incapables de l’U.M.P. et du P.S., avec leurs alliés de toutes sortes, leurs obligés, leurs complices, sévir dans leur seule famille, si tant est qu’ils en aient encore une.

      Nous devons avoir un seul objectif pour les élections de 2012. A la porte les incapables, les incompétents, les corrompus eux et leurs complices ceux qui pleurent des larmes de crocodile pour nous apitoyer alors que nous versons des larmes de sang, sur les malheurs de notre Nation, de notre Peuple, de nos familles, de notre société, de notre civilisation chrétienne vieille de 1500ans, bref tout ce qu’ils ont entrepris de faire disparaître.

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12 juillet 2012 4 12 /07 /juillet /2012 19:22

 thumb.small.images406.jpg      L'ultimatum des islamistes aux chrétiens du Nigeria : La secte Boko Haram, qui a frappé plusieurs églises le soir de Noël, leur donne trois jours pour quitter le nord du pays.

 

        La peur d'une guerre de religion au Nigeria s'accentue. Tout le week-end le ton est dangereusement monté. Mis sous pression pour mettre fin au cycle d'attaques et de représailles entre communautés chrétiennes et musulmanes qui ensanglante le nord du pays, le président Goodluck Jonathan a réagi, décrétant dimanche l'état d'urgence dans les zones touchées par les violences. Dans son discours, le chef de l'État a juré «d'écraser» Boko Haram, un groupe islamiste à l'origine d'attentats contre des églises qui ont fait plus de 50 morts le soir de Noël . Abou Qaqa, un porte-parole de la secte, a répliqué, fixant un ultimatum de trois jours aux chrétiens pour quitter le nord du pays et promettant d'affronter l'armée.

 

 

 

       Lundi, dans la matinée, des militaires appuyés par des blindés patrouillaient dans les rues de Maiduguri, capitale de l'État de Borno et berceau de Boko Haram. «Nous redoutons ce qui pourrait arriver», a confié à Reuters un habitant de la ville Buda Guduf. Non sans raison. L'armée nigériane est connue pour son manque de discernement, ses opérations de maintien de l'ordre faisant régulièrement plus de morts que les émeutes elles-mêmes. Abuja, la capitale, ne l'ignore pas, pas plus qu'elle n'ignore que ce bras de fer est souhaité par Boko Haram qui n'a de cesse d'exciter les tensions religieuses. «Nous trouvons pertinent de souligner que les soldats ne tueront que des musulmans», a d'ailleurs insisté Abou Qaqa.

 

 

        Mais le pouvoir fédéral ne semble plus disposer d'autres solutions que la manière forte. Ces derniers mois, la présidence a vainement tenté de tendre la main et de mettre en place une politique de la carotte et du bâton. Au résultat, l'année 2011 fut l'une des plus violentes, avec de multiples affrontements religieux qui ont fait plusieurs centaines de morts et des dizaines de milliers de déplacés et placé le nord du (...) Lire la suite sur Figaro.fr

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12 juillet 2012 4 12 /07 /juillet /2012 18:54

Paris, 15 juin

 

  186898845.jpg     L'agence russe d'exportation d'armes Rosoboronexport et le groupe français Thalès ont signé un contrat de  transfert de technologies françaises de production de systèmes de vision nocturne destinés aux blindés,  a annoncé mardi à RIA Novosti le chef de la délégation russe Igor Sevastianov.

       « Aux termes du contrat, la Russie a obtenu le droit d’assembler à Vologda (au nord-ouest de Moscou – ndlr) sous licence française les systèmes de vision nocturne », a déclaré le directeur général adjoint de Rosoboronexport sans préciser la somme du contrat.

        L’usine d’appareils optiques et mécaniques de Vologda possède déjà un centre de production d’appareils de vision nocturne pour les chars T-90.

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12 juillet 2012 4 12 /07 /juillet /2012 18:46

   0101circumcision.JPG    Au huitième jour après sa naissance, notre Seigneur Jésus-Christ fut circoncis conformément à la loi de l'Ancien Testament. Tous les nourrissons de sexe masculin ont subi la circoncision comme un signe de l'Alliance de Dieu avec Abraham le saint Ancêtre et ses descendants (Gen. 17 : 10-14, Lev. 12 : 3).

 

         Après ce rituel au Divin Enfant a été donné le nom de Jésus, comme l'archange Gabriel a déclaré le jour de l'Annonciation à la Très Sainte Mère de Dieu (Luc 1 : 31-33, 2 : 21). Les Pères de l'Église expliquent que le Seigneur, le Créateur de la loi, a subi la circoncision afin de donner aux gens un exemple de la façon dont fidèlement les ordonnances divines doivent être remplies. Le Seigneur a été circoncis afin que plus tard, personne ne doute qu'Il avait vraiment assumé la chair humaine, et que Son Incarnation n'était pas seulement une illusion, comme certains hérétiques (Docètes) ont enseigné.

 

        Dans le Nouveau Testament, le rituel de la circoncision a cédé la place au mystère du Baptême, qui, le préfigurait (Col. 2 : 11-12). les Comptes de la fête de la Circoncision du Seigneur continuent dans l'Eglise Orientale à travers le quatrième siècle. Le Canon de la fête a été écrit par Saint-Etienne du Monastère Saint-Sava (28 octobre et 13 Juillet).

 

         En plus de la circoncision, qui le Seigneur a accepté comme un signe de l'Alliance de Dieu avec l'humanité, Il a également reçu le nom (Sauveur) Jésus, le huitième jour après sa Nativité comme une indication de son service, l'œuvre du salut du monde (Mt.1: 21; Mark 9:38-39, 16:17; Luc 10:17, Actes 3:6, 16; Phil 2:9-10). Ces deux événements, la circoncision du Seigneur, au nommage, rappeler aux chrétiens qu'ils sont entrés dans une nouvelle alliance avec Dieu et «sont circoncis d'une circoncision faite sans main, en mettant hors du corps des péchés de la chair par la circoncision du Christ" (Col. 2:11). Le nom même de «chrétien» est un signe de l'entrée de l'humanité dans une nouvelle alliance avec Dieu.

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12 juillet 2012 4 12 /07 /juillet /2012 18:39

  1231melania.jpg     Sainte Melania est née à Rome dans une famille Chrétienne. Ses parents, des gens de biens et de richesses, espèrent que leur fille se marie et aura des enfants qui hériteraient de leur richesse.

 

         À quatorze ans Mélanie a été mariée au jeune illustre Apinianus. Dès le début de leur vie conjugale, Ste Melania a demandé à son mari pour vivre avec elle dans la chasteté, ou bien la libérer du mariage. Apinianus a répondu, :

"Je ne peux souscrire à ce droit maintenant. Quand nous avons deux enfants à hériter de la propriété, alors nous pourons tous deux renoncer au monde."

 

        Bientôt Mélanie a donné naissance à une fille, dont les jeunes parents ont consacré à Dieu. Continuer à vivre ensemble dans le mariage, Melania en secret portait un cilice et a passé ses nuits dans la prière. Le deuxième enfant, un garçon, était prématurée et a eu des complications graves. Ils l'ont ont baptisé, et il partit pour le Seigneur.

 

        En voyant la souffrance de sa femme, Apinianus a demandé au Seigneur de préserver la vie de Sainte Mélanie, et il a promis de passer le reste de leur vie commune dans la chasteté. Récupération, Ste Melania a cessé de porter ses vêtements et des bijoux magnifiques. Bientôt, leur fille mourut aussi. Les parents de Mélanie St n'appuyait pas la volonté du jeune couple à se consacrer à Dieu. Ce n'est que lorsque le père de Mélanie St devint gravement malade, qu'il a demandé leur pardon et leur a permis de suivre leur voie choisie, en leur demandant de prier pour lui.

 

        Les saints ensuite quitté la ville de Rome, et a commencé une nouvelle vie entièrement consacrée au service de Dieu. Apinianus à cette époque avait vingt-quatre ans, et Mélanie vingt ans. Ils ont commencé à visiter les malades, de prendre en vagabonds, et à aider les indigents. Ils ont visité ceux qui furent exilés, et de mines condamnés, et les indigents, il en prison pour dettes. Après avoir vendu leurs terres en Italie et en Espagne, ont généreusement contribué à des monastères, des hôpitaux, des veuves et des orphelins dans la Mésopotamie, la Syrie, l'Egypte, la Phénicie et la Palestine.

 

        Beaucoup d'églises et les hôpitaux ont été construits avec leur aide. Églises de l'Ouest et l'Est ont bénéficié de leur part. Laissant leur terre natale, ils firent voile pour l'Afrique, et une forte tempête survenue pendant qu'ils étaient à la mer. Les marins dit que c'était à cause de la colère de Dieu, mais St Melania dit que ce n'était pas la volonté de Dieu qu'ils devraient aller directement à leur destination.

 

       Les vagues ont déposé le navire sur une île sur laquelle barbares avaient débarqué. Les assiégeants exigé une rançon par les habitants, ou bien ils ont menacé de ravager la ville. Les saints fourni la rançon nécessaire, et sauva ainsi la ville et ses habitants de la destruction.

 

       Reprise de leur voyage, ils ont débarqué en Afrique et a contribué à tous les nécessiteux là. Avec la bénédiction des évêques locaux, ils faisaient des offrandes aux églises et aux monastères. Pendant ce temps, St Melania a continué à humilier sa chair par le jeûne strict, et elle fortifié son âme par la lecture constante de la Parole de Dieu, faire des copies des livres sacrés et de les distribuer à ceux qui les manquait. Elle cousait un cilice pour elle-même, le mettre sur, et a continué à le porter.

 

       Les saints a passé sept ans à Carthage, et a ensuite décidé de visiter Jérusalem. A Alexandrie, ils ont été accueillis par l'évêque, saint Cyrille, et ils se sont rencontrés à l'église avec la sainte Nestorius Elder, qui était possédé le don de prophétie et de guérison. The Elder se tourna vers eux et leur a dit d'avoir du courage et de patience dans l'attente de la gloire du ciel.

 

       À Jérusalem, les saints ont distribué leur or restant à la misère, puis passaient leurs journées dans la pauvreté et la prière. Après une courte visite en Egypte, où les saints visité un grand nombre des Pères du désert, St Melania isolée elle-même dans une cellule sur le mont des Oliviers. Seulement de temps en temps at-elle vu Apinianus St.

 

        Plus tard, elle fonda un monastère, où finalement 90 vierges vécue dans l'obéissance à St Melania. Sur l'humilité, elle ne voulait pas consentir à être abbesse, et a vécu et prié dans la solitude comme avant. Dans ses directives, St Melania a exhorté les sœurs à être vigilants et à prier, à dédaigner leurs propres opinions et de cultiver d'abord l'amour pour Dieu et pour l'autre, de garder la foi sainte orthodoxe, et pour garder leur pureté d'âme et de le corps.

 

       En particulier, elle les exhortait à être obéissants à la volonté de Dieu. Appel à l'esprit les paroles de l'apôtre Paul, elle leur conseillait de garder les jeûnes "pas avec des lamentations, ni de contrainte, mais dans une disposition vertueuse d'amour pour Dieu". Par ses efforts un oratoire et de l'autel ont été construits dans le monastère, où ils consacré des reliques des saints: le prophète Zacharie, le premier martyr saint Etienne, et le Quarante Martyrs de Sébaste. Vers cette époque, Saint-Apinianus s'endormit dans le Seigneur. St Melania enterré ses reliques, et il a passé quatre ans en jeûne et la prière incessante.

 

       Ste Melania voulait construire un monastère pour hommes sur le mont de l'Ascension du Seigneur. Le Seigneur a béni son intention par l'envoi d'un bienfaiteur qui a fourni les moyens pour le monastère. Joyeusement l'accepter, St Melania terminé l'excellent travail en une seule année. Dans ce monastère, saints hommes ont commencé à soulever la prière incessante dans l'église de l'Ascension du Christ.

 

        Après avoir terminé ses tâches, le saint a quitté Jérusalem pour Constantinople, l'espoir de sauver l'âme de ses Volusianus oncle païennes qui avaient voyagé il ya de Rome. En chemin, elle a prié devant les reliques de St Laurence (Août 10), sur le lieu de son martyre, et a reçu des signes de bon augure. Arrivé à Constantinople, le saint trouvé son oncle était tombé malade. Son comportement et ses discours inspirés ont eu une influence profonde sur l'homme malade. Il a renoncé à l'impiété païenne et est mort en chrétien.

 

        Pendant ce temps, de nombreux habitants de la capitale ont été trompés par l'enseignement hérétique de Nestorius. Ste Melania a accepté tous ceux qui se tourna vers elle pour l'explication correcte, en convertissant nombre d'entre eux à l'orthodoxie. De nombreux miracles ont été travaillées par les prières de la sainte.

 

        De retour à son monastère, le saint senti l'approche de la mort, et dit que cela le prêtre et les sœurs. Ils ont écouté ses dernières instructions avec une profonde tristesse et de larmes. Ayant demandé à leurs prières et leur commandant de se conserver dans la pureté, elle a reçu les saints mystères avec la joie. St Melania pacifique a donné son âme au Seigneur dans le 439 années.

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12 juillet 2012 4 12 /07 /juillet /2012 18:36

   1225Nativity0051-copie-1.jpg     Les matériaux pour la Nativité sont pris à partir du service de la fête elle-même dans le Menaion. Les lectures de l'Écriture à la liturgie, cependant, sont de la journée, pas de la fête. Le prokimenon, versets Alleluia, et la communion sont tous hymnes de la fête.

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12 juillet 2012 4 12 /07 /juillet /2012 00:54

Astana, 15 juin

 

  186898151.jpg     La loi nommant le président kazakh Noursoultan Nazarbaïev leader de la nation est entrée en vigueur dans ce pays, après avoir été signée par les présidents des deux chambres du parlement et le premier ministre, rapporte le correspondant de RIA Novosti. 

        A la mi-mai le parlement kazakh a adopté les amendements à plusieurs lois constitutionnelles nommant Noursoultan Nazarbaïev leader de la nation, cependant le président quant à lui a refusé de signer le document. Il a indiqué que toutes les mesures concernant son honneur et sa dignité, ainsi que les garanties de son immunité sont déjà prévues par la Constitution et d'autres lois. 

        En vertu de la loi, toutes les propositions importantes relatives à la nature de l'Etat ou à la sécurité du pays doivent être approuvées par le leader de la nation qui bénéficie d'une immunité présidentielle à vie. Le leader de la nation ne peut pas être placé en garde à vue, arrêté, fouillé ou traduit en justice pour des actes commis pendant son mandat, ainsi que pour des actes commis après l'expiration de son mandat mais liés à son statut de "premier président kazakh et leader de la nation". 

       La loi considère l'attentat à la vie du leader de la nation comme un acte de terrorisme et propose des sanctions pénales pour les personnes ayant proféré des insultes publiques, endommagé les images représentant le leader de la nation ou bien essayé de falsifier sa biographie.

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12 juillet 2012 4 12 /07 /juillet /2012 00:46

polautruche1-copie-1.jpg      Voici la suite de la conférence prononcée jeudi 19 avril à Rennes, devant quelques auditeurs venus à l'invitation de l'Action Royaliste Rennaise, dans le cadre sympathique d'un grand café de la place de... la République !

2. Pendant ce temps, la crise continue...

La campagne présidentielle française n'évoque que fort peu la crise qui frappe actuellement la zone euro et qui, en fait, constitue sans doute cette « grande transition » entre les pays anciennement industrialisés et les puissances « émergées » du Sud que j'ai déjà évoquée à de nombreuses reprises. Pas plus que les principaux candidats n'évoquent la crise environnementale ni les risques sur les matières premières que font peser les exigences de la société de consommation et les appétits des grandes puissances industrielles... Le réveil risque d'être douloureux après le 6 mai, et avant même que les élections législatives de juin prochain ne donnent une majorité (ou pas, d'ailleurs...) au président élu.

 

 

1. Les marchés, les investisseurs pourraient bien mener une sorte de « 3ème tour » financier, si l'on suit leurs multiples déclarations dans la presse économique et celle des économistes eux-mêmes. Leurs craintes de l'arrivée de la Gauche à la présidence et sur des mesures fiscales peu accommodantes à leur égard sont-elles valorisées pour intimider les électeurs ou les candidats eux-mêmes ? En somme, les marchés, imités par les agences de notation (ou l'inverse, d'ailleurs...) font-ils du chantage à la France ou y a-t-il un vrai problème pour la France ?

En fait, il y a un peu de tout dans la situation actuelle : autant on ne peut pas méconnaître que les agences de notation et les investisseurs sont d'abord motivés par des raisons financières qui ne sont pas forcément philanthropiques, autant il faut bien constater que l'endettement public de la France se conjugue aussi avec la difficulté à réduire les dépenses tout en assurant des prestations et des services de qualité pour la population.

De ce fait, la journée du 10 mai risque d'être déterminante et instructive pour la suite, puisque c'est ce jour que la France doit tendre la sébile sur les marchés pour trouver de l'argent nécessaire à son fonctionnement, et que c'est ce jour que l'on mesurera vraiment la pression des investisseurs (des spéculateurs, parfois...) et la réaction des marchés... Une augmentation significative des taux d'intérêt appliqués à la dette française serait un signal fort désagréable et risquerait de limiter un peu plus les marges de manoeuvre du nouveau gouvernement, quel qu'il soit...

La question qui se pose désormais et qui se posera encore plus dans les mois qui viennent, c'est de savoir si la France devient la « coriphérie » de la zone euro et, plus généralement, de l'Europe : ce terme, lancé par UBS il y a quelques semaines, signifierait que notre pays, désormais, n'est plus vraiment au coeur de l'Union sans pour autant en être à la périphérie, en fait qu'elle est à la fois l'un et l'autre... Le coeur si elle devient une « annexe de l'Allemagne », ce qui n'est guère enthousiasmant ; la périphérie à l'image des pays de l'Europe méditerranéenne, si elle se lance dans des dépenses supplémentaires, ce qui n'est pas plus exaltant... Le mieux serait d'éviter ce dilemme en se créant, peut-être, un modèle alternatif dont les marchés, pour l'heure, ne voient guère, il est vrai, l'intérêt pour eux...

2. Les plans sociaux, la pression multiforme de la mondialisation, la désindustrialisation... Voici des éléments qui vont se signaler encore plus fortement après l'élection, ce que soulignent de nombreux observateurs de l'activité économique et que ne cachent même pas les directions des grandes entreprises, particulièrement multinationales, peu attentives aux souhaits (voire aux consignes...) des ministres et des hommes politiques désireux de maintenir un maximum d'activités industrielles sur notre territoire...

Ainsi, le groupe automobile PSA ne cache pas son intention d'annoncer, après le 6 mai, un plan de redéploiement industriel qu'il faut comprendre comme un vaste plan social aboutissant, au nom de la compétitivité, à la fermeture de plusieurs usines en France dont, peut-être, celle d'Aulnay-sous-bois, ou celle, à moyenne échéance, de Rennes-La Janais... En somme, le nombre de chômeurs risque bien, dans le deuxième semestre 2012, de faire un bond significatif et la désindustrialisation de s'accélérer encore un peu plus...

De plus, au delà du monde industriel, la fonction publique est elle-même menacée, à court terme sans doute, d'une dégradation certaine, en nombre d'emplois comme en niveau de salaires, pour la raison fort simple que les partenaires européens de la France mais surtout la Commission européenne, par la voix de son commissaire Olli Rehn, ne cessent de réclamer une réduction des dépenses publiques pour diminuer l'endettement de l'Etat français.

Les fonctionnaires constituant un « public captif », ils peuvent ainsi constituer une véritable variable d'ajustement par le blocage des salaires (déjà en cours pour deux ans), voire une diminution programmée et plus ou moins forte selon les cas de leurs revenus, donc de leur charge pour l'Etat... Cette situation particulière et peu satisfaisante pour les salariés du privé comme du public (et il serait dans ce cas peu crédible de les opposer les uns aux autres, car « le bain est le même »...) pourrait bien, au bout de quelques mois, réveiller une contestation sociale similaire à celles qui agitent nos voisins hispaniques ou nos cousins hellènes, sans que, pour autant, les comptes publics, piégés par un système absurde de « spirale infernale », ne se redressent, sans doute parce que, déjà, l'argent est désormais « ailleurs »... (à suivre : Les atouts de la France et la possibilité, non pas d'une, mais d'autres politiques...)

Jean-Philippe CHAUVIN

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