Kazac

         Saint Nicodème était un pharisien éminent qui a cru en Jésus-Christ. Le Sauveur lui a expliqué comment l'Homme est régénéré par le baptême, mais il ne comprenait pas comment un homme peut être né de nouveau. Quand le Seigneur lui reprochait son ignorance, il a accepté avec humilité (Jean 3 : 1-21).

        Nicodème est venu à Christ, de temps en temps, le défendit contre les Pharisiens (Jean 7 : 50-52), et a apporté les épices pour embaumer son corps (Jean 19 : 39). Après avoir été chassé de la synagogue pour sa croyance dans le Christ, Saint Nicodème est allé vivre avec St Gamaliel à sa maison de campagne, où il resta jusqu'à sa mort.

         Les reliques des saints Etienne, Gamaliel, Abibas, et Nicodème ont été transférées de Jérusalem à Constantinople en 428 et placées dans l'église du saint Diacre Laurent (10 août).

         Les sept saints martyrs Maccabées Abim, Antonius, Gurias, Eléazar, Eusebonus, Alimus et Marcellus, leur Solomonia mère et leur professeur Eléazar souffert en l'an 166 avant Jésus-Christ sous l'impie roi syrien Antiochus Épiphane IV. Cette règle stupide aimé coutumes païennes et hellénistique, et a tenu des coutumes juives pour outrage. Il a fait tout son possible pour détourner les gens de la loi de Moïse et par leur alliance avec Dieu. Il a profané le Temple du Seigneur, placé une statue de Zeus dieu païen là, et contraint les Juifs à l'adorer. Beaucoup de gens abandonné le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob, mais il y avait aussi ceux qui continuent à croire que le Sauveur viendrait.

        Un ancien de 80 ans, le scribe Eléazar et enseignant, a été traduit en justice pour sa fidélité à la loi mosaïque. Il a subi des tortures et mourut à Jérusalem.

         Les disciples de Saint Eléazar, les sept frères Maccabées et leur Solomonia mère, également affiché un grand courage. Ils ont été traduits en justice à Antioche par le roi Antiochus Epiphane. Ils ont courageusement reconnu eux-mêmes en tant que disciples du Vrai Dieu, et a refusé de manger la chair de porc, ce qui était interdit par la loi.

        Le frère aîné a agi comme porte-parole pour le reste, en disant qu'ils préféraient mourir plutôt que de transgresser la loi. Il a été soumis à des tortures féroces à la vue de ses frères et leur mère. Sa langue a été coupée, il a été scalpé, ses mains et ses pieds ont été coupés. Puis, un chaudron et une grande poêle à frire ont été chauffés, et le premier frère a été jeté dans la poêle, et il mourut.

        Les cinq prochaines frères ont été torturés uns après les autres. Le septième frère plus jeune et était le dernier survivant. Antiochus suggéré à St Solomonia de persuader le garçon de lui obéir, de sorte que son dernier fils au moins seraient épargnés. Au lieu de cela, la brave mère lui a dit d'imiter le courage de ses frères.

         L'enfant reprocha au roi et a été torturé encore plus cruellement que ses frères l'avaient été. Après tous ses sept enfants sont morts, St Solomonia, se tenait au-dessus de leur corps, levé ses mains dans la prière à Dieu et mourut.

        La mort de Martyre des frères Maccabées a inspiré Judas Maccabée, et il a mené une révolte contre Antiochus Epiphane. Avec l'aide de Dieu, il a remporté la victoire, puis purifié le Temple à Jérusalem. Il a également jeté les autels que les païens avaient mis en place dans les rues. Tous ces événements sont liés dans le Second Livre des Maccabées (ch. 8-10).

         Des pères de l'Église ont écris divers sermons sur les sept Macchabées, dont saint Cyprien de Carthage, saint Ambroise de Milan, saint Grégoire de Nazianze et saint Jean Chrysostome.

        Le Patriarche de Moscou et de toute la Russie Cyril a envoyé un télégramme au Gouverneur de la région de Kemerovo AG Tuleyev lors de la tragédie de la mine "Raspadskaya".

Au Gouverneur de Kemerovo AG Tuleyev

Cher Aman Gumirovich !

         Sincères condoléances à vous, aux familles endeuillées des mineurs et des sauveteurs, et toutes les victimes des attentats du 9 mai dans la mine "Raspadskaya". Puisse le Seigneur donner du repos aux défunts, et ainsi de soigner les blessés.

         Je prie pour le salut de la proximité de ceux qui sont encore sous les décombres. Je suis sûr que les autorités fédérales et régionales feront tout ce qui est nécessaire pour cela.

        Lorsque, le 30 Mai, la charrette qui l'amenait au bûcher s'arrêta place du Marché, "Massieu arriva avec la croix de l'église St Sauveur. Il la tendit a Jeanne dès qu'elle fut descendue de la funèbre carriole et l'approchant de ses lèvres, elle s'agenouilla pour l'embrasser très étroitement et longuement. Puis elle se releva et gravit d’un pas ferme les degrés qui menaient a la plateforme où s'empilaient les bûches, soutenue par Martin Ladvenu et le bourreau. Massieu resta en bas pour tenir le crucifix élevé au niveau de ses yeux.
Le bourreau attacha l'Angélique au poteau qui s'élevait au milieu du bûcher, puis il rejoignit en bas ses aides et enflamma avec eux les bourrées des 4 côtés à la fois. Mais bientôt, on ne la vit plus ; elle fut d'abord cachée par la fumée, puis par les flammes. Leur première atteinte lui arracha un cri qui glaça le sang de tous. La foule se tut. On n’entendit que les furieux crépitement du feu et dans le vent du bûcher, les invocations de la victime a Dieu, a la Sainte Vierge, aux 2 archanges et aux 2 saintes. Des plaintes alternaient avec ces oraisons jaculatoires et des gémissements d'enfant. Bientôt elles se firent plus faibles. Une dernière fois, un cri, une invocation, un suprême appel de souffrance, d'amour et d'espoir a son surnaturel modèle Jésus ! Et elle expira". (Fabre)

Sur l'ordre du cardinal Winchester, ses cendres furent jetées dans la Seine. Un soldat anglais s'écria : "Nous avons brûlé une sainte". Sainte Jeanne d'Arc est peut-être bien la sainte dont la vie ressemble le plus à celle de Notre Seigneur : vie cachée - la reconnaissance de sa mission par les théologiens marquant le début de sa vie publique correspond au baptême par St Jean-Baptiste - une vie publique glorieuse de 3 ans environ s'achevant par une trahison des siens - procès par des ecclésiastiques - condamnation à mort ridicule, exécutée par la puissance étrangère occupant son pays - l'exclamation du soldat anglais rappelle celle du centurion :"Cet homme était vraiment le Fils de Dieu".

J'ajouterai (peut-être en forçant un peu les choses) l'Ascension, puisqu'on a vu s'élever son âme au ciel sous forme de colombe - Nous ne possédons aucun reste de son corps - enfin son cœur (qui n'avait pas brûlé et qui contenait probablement un peu de sang) voguant sur les flots me fait penser à la légende du St Graal.

        Deux jeunes hommes de 22 et 23 ans ont été sauvagement agressés à l’arme blanche en pleine rue hier après-midi. L’un a succombé à ses blessures, l’autre se trouvait toujours dans un état critique hier soir.

Une casquette posée sur une paire de baskets à proximité de traces de sang au pied d’un immeuble, au no 2 de la rue du 11-Novembre, à Clichy-la-Garenne. C’est ici que deux jeunes habitants de ce quartier sensible, âgés de 22 et 23 ans, ont été violemment frappés hier peu avant 15 heures, a priori avec un couteau et une machette. Les agresseurs, deux hommes cagoulés, ont réussi à prendre la fuite, l’un à pied et l’autre à scooter. L’un des deux blessés, prénommé Mourad, n’a pas survécu. Le second, Anthony, transféré dans un état critique à l’hôpital Beaujon tout proche, était toujours hier soir entre la vie et la mort.

       « Je suis arrivé peu après les pompiers et deux de mes collègues, explique un éducateur de la ville, sous le choc. Les gamins, on les croise tous les jours depuis des années et les voir comme ça, par terre, c’est un vrai traumatisme pour ce quartier où tout le monde se connaît. » Portant un tee-shirt bleu marine avec le logo « Unité d’éducation urbaine », les médiateurs assurent une présence quotidienne dans toute la ville. Les agents qui étaient hier sur les lieux du drame témoignent des blessures profondes infligées par ses agresseurs à Anthony, « qui était conscient », malgré ses plaies ouvertes à l’abdomen. Alors que Mourad, touché au thorax et inanimé, était pris en charge par les secours.

Les victimes étaient connues des services de police

          Peu de temps après l’agression, vers 16 heures, une vingtaine de jeunes ont tenté d’entrer de force dans l’hôpital Beaujon, et trois policiers ont été légèrement blessés. Trois de ces jeunes ont été interpellés alors qu’un important dispositif policier a rapidement été déployé pour sécuriser le quartier qui n’avait jamais connu un tel déchaînement de violence. « Quarante CRS seront présents toute la nuit