- Père Pierre, plus récemment vous avez dirigé l'Institut Orthodoxe de St.Jean le Divin, existant à Moscou depuis près de deux décennies.Dites-nous, que prévoit-on faire pour que l'institut acquière, comme on dit, un «Second souffle» ?
- J'ai rejoint le poste de recteur le 21 mai, jour de la mémoire du saint Apôtre Jean le Théologien.Du 21 mai au 1er juin, sous la direction de l'Evêque de Zaraisk Mercure,avec des experts dans le domaine de l'enseignement supérieur, nous avons été engagés dans l'évaluation de la situation à l'université, a mené un audit de toutes ses structures.Tout le mois de juin a été consacré à la reprise des activités éducatives à l'Institut. Pendant ce temps, les questions de ré-obtenir une licence pour l'activité éducative, re-délivrance du certificat d'accréditation, finales et les examens de transfert ont été achevés, l'année académique a été achevée.
Aujourd'hui, nous faisons la sortie de nos étudiants de premier cycle, nous transférons les étudiants du cours, nous recrutons des participants.J'espère que les épisodes gris de la vie de notre université sont laissés pour compte.
Chers Mesdames et Messieurs, chers frères et sœurs !Je suis heureux de pouvoir ouvrir une réunion du groupe de travail "Eglises en Europe".
Récemment, le sujet de la modernisation occupe une place particulière dans les discussions publiques, notamment en relation avec la crise économique.Cela inquiète les politiciens, les représentants du milieu des affaires, les politologues, les économistes et les spécialistes des sciences sociales.Le mot même de «Modernisation» est peut-être devenu l'un des plus utilisés dans l'espace médiatique.Quel genre de personne devrait être l'ère de la modernisation ?Quelles qualités et quels mérites doit-il posséder pour favoriser le progrès dans telle ou telle sphère de la vie ?Beaucoup s'accordent sur le fait que cela doit être une créativité inhérente de la pensée, de l'éducation, de l'intelligence et de l'érudition, de l'efficacité, de la mobilité, des compétences de communication.Cependant, quelle peut être la source de ces qualités ?Il faut se souvenir que l'homme n'est pas seulement un être corporel, mais aussi un être spirituel.Par conséquent, la vie spirituelle est la base de toutes les qualités positives d'une personne.
Au cours des deux derniers siècles, la laïcité a essayé de convaincre tout le monde que la religiosité est l'ennemi de la modernisation numéro un.La modernisation a acquis un vecteur visant les biens matériels et les plaisirs terrestres.En conséquence, la culture de masse moderne a fait de la richesse matérielle et des choses un culte, les plaçant au-dessus des manifestations spirituelles de l'être, et parfois les opposant.Depuis la modernisation et la laïcité militante sont devenues des alliés, l'homme se concentre sur l'acquisition continue de la richesse matérielle.Il se soucie de mieux équiper sa maison, achète quelque chose de chère.Le week-end, il préfère aller au restaurant ou dans un lieu de divertissement.Dans son portefeuille se trouvent un livre sur l'économie et la finance, un journal frais, un livret du tour-opérateur, et non un ouvrage de fiction ou une publication de contenu spirituel.
Sa Sai. le Patriarche Kirill de Moscou et de toute la Russie a exprimé ses condoléances au Président de la République Slovaque, Ivan Gasparovic, à propos de la tragédie de Bratislava, qui a entraîné la mort d'innocents.
Au Président de la République Slovaque, M. Ivan Gasparovic
Votre Exc. !
Avec la douleur dans mon coeur, j'ai reçu la triste nouvelle de l'incident tragique à Bratislava, qui a entraîné la mort et les blessures de personnes innocentes, parmi lesquelles se trouvaient des femmes et des enfants.Je vous présente, à la population de Bratislava et au peuple slovaque tout entier, mes plus sincères condoléances.
Avec le troupeau de l'Église Orthodoxe russe, je prie pour le repos des âmes des défunts, pour le renforcement spirituel de ceux qui ont perdu des êtres chers, pour la guérison rapide des blessés.
Sa Sai. le Patriarche Kirill de Moscou et de toute la Russie a félicité le président de la République Kirghize pour la période de transition RI.Otunbayeva le jour de l'indépendance.
Au Président de la République Kirghize R.I.Otunbayeva
Chère Rosa Isakovna !
Je vous félicite cordialement ainsi que tous les citoyens de la République pour le Jour de l'Indépendance.
En peu de temps, vous et vos collègues avez travaillé dur pour stabiliser la situation dans le pays.Les conditions importantes pour son développement harmonieux et durable sont le renforcement de la paix interethnique et interreligieuse et la création du consentement du public.Je suis convaincu qu'une interaction constructive entre l'État et l'Église peut apporter de bons résultats et servir le bien du peuple de la République Kirghize.
En ce jour remarquable, je voudrais vous souhaiter ainsi qu'à toute la population du Kirghizistan la paix, la prospérité et la prospérité.
Par un artisan-carreleur dirigeant l’active association corporatiste Sauvegarde et promotion des Métiers, issue de la Cité Catholique; quelques rappels utiles pour montrer que le corporatisme est toujours aujourd’hui une réalité vivante de l’ordre social.
Il est très difficile aujourd’hui de proposer le principe corporatif comme conception économique, tant les esprits sont imprégnés des idéologies dominantes : le libéralisme et le socialisme. Depuis que l’ordre naturel, fondé sur des communautés naturelles organiques, a été bouleversé par la loi Le Chapelier, qui ne reconnaît plus que les individus et l’État, nous baignons dans un système qui oscille entre la poursuite d’intérêts individuels, exaltés par l’idée de concurrence, où toutes les barrières qui régulaient l’économie sont abolies, et une défense d’intérêts de classe, où le principe d’opposition s’est substitué au principe d’union et d’organisation (1). Tout le problème est là. Cette philosophie de l’économie, a débouché sur l’ouverture des marchés à tous vents, au développement de la grande distribution tuant le commerce de proximité, à la mondialisation, aux multinationales et à la disparition des économies locales, qui reflétaient un art de vivre et qui ont fait toute l’originalité de notre civilisation. Que peu-t-on faire aujourd’hui pour reconstituer des structures d’organisation et de participation dans le domaine professionnel ?
Résister au discours libéral
Comment ? En diffusant la doctrine sociale de l’Église la plus traditionnelle, si mal connue. Au nom de l’efficacité économique, de la recherche du rendement, du profit, de la consommation effrénée de biens de consommation, on a oublié les impératifs du Bien Commun. Deux axiomes pernicieux ont engagé l’économie dans cette fausse voie. Le premier a été émis par un économiste libéral Adam Smith, à la fin du XVIIIè siècle :« La recherche par chaque individu de son intérêt personnel est le meilleur moteur de l’intérêt général. »Ce sont les mêmes termes que l’on retrouve dans la loi Le Chapelier, qui a généré le libéralisme et le socialisme, et annihilé les corps intermédiaires. Le second, tout aussi pernicieux, de Jean-Baptiste Say, au début du XIX » siècle :« Si un pays peut vous fournir une marchandise meilleur marché, il vaut mieux que nous la lui achetions ». Ces deux axiomes ont été complétés par la théorie des spécialisations nationales et reprises par des économistes comme Frédéric Bastiat et Frédéric Havek. On a ainsi inversé l’ordre des valeurs. Tout a été centré sur le prix au détriment de la qualité. L’intérêt particulier a généré un individualisme forcené et rompu un certain lien social qui unissait des hommes au sein de corps intermédiaires à échelle humaine, organisés selon le principe de subsidiarité. L’intérêt, qui sous-entend un concept d’argent, a été privilégié par rapport à la notion de bien commun, qui disparaît de fait.
Agronome français, « De l’honneste comportement en la solitude de la campagne » Né à Villeneuve-de-Berg en 1539, son père est premier consul de Villeneuve-de-Berg et recteur de l’hôpital, sa mère Louise de Leyris est la fille d’un notaire, greffier des Etats du Vivarais. La famille est protestante et permet à Olivier ainsi qu’à ses frères et sœurs d’accéder à l’enseignement et de voyager en Europe. Très tôt, il fait preuve d’une curiosité intellectuelle semblable à celle des humanistes de la Renaissance. Olivier de Serres est décrit tout à la fois comme un huguenot courageux, un agriculteur exemplaire, un savant précurseur, un époux attentionné, un père de famille attentif, un fin lettré et un gentilhomme avisé. « …tandis que, dans ton siècle, beaucoup allaient vêtus d’armures, la croix sur l’épaule et l’épée au côté, toi tu marchais modestement, en petite collerette, barbiche et coiffé ras, dans un chemin de buis; la bêche et le râteau étaient tes seules armes », ainsi est-il vu par Edmond Pilon (Collection du Pigeonnier de Saint-Félicien en Vivarais). Après des études à l’Université de Valence il acquiert le domaine du Pradel dominé par la forteresse de Mirabel, situé à une lieue de Villeneuve-de-Berg. Gentilhomme huguenot, il exploite lui-même les terres, où l’ont confiné les guerres de religion qui ruinent le royaume. Le Pradel devint ainsi un laboratoire, une ferme expérimentale, le lieu où l’intuition de la modernité agricole a jailli et où l’essai a administré la preuve empirique de la validité des inventions. Les méthodes de cultures sont très archaïques à cette époque.
Olivier de Serres fut un des premiers à pratiquer une agriculture raisonnée dans son domaine agricole du Pradel de près de 200 hectares, par utilisation de l’assolement (alternance des cultures sur le même terrain). Il découvre que la culture de la luzerne enrichit la terre et permet l’année suivante de meilleures récoltes sur le terrain où elle a poussé. Il recommande aux paysans français d’observer un certain nombre de principes par la pratique de plusieurs cultures. Il importe différentes plantes : la garance des Flandres (teinture rouge), le houblon d’Angleterre (pour la bière). Il acclimate le maïs et le mûrier, ce dernier importé de Chine permettait la culture du ver à soie, et par conséquent la production du fil pour confectionner le textile.
Aussi , lorsqu’en avril 1598, Henri IV, après la publication de l’édit de Nantes, lance un appel aux bonnes volontés, pour ressusciter le royaume, Olivier de Serres se met à son service. En effet le royaume d’Henri IV, est dévasté par les guerres de religion, il est pris dans l’engrenage dramatique de la misère paysanne, des disettes et des famines. En novembre 1598, Olivier de Serres se rend à Paris pour régler la succession de son frère Jean. Il est appelé à la cour. Il a transporté avec lui son énorme ouvrage de mille pages, dans lequel il a consigné toutes ses notes, écrit dans une langue agréable:« Théâtre d’Agriculture et Mesnage des Champs »Le mot « théâtre » désigne les traités qui exposent les théories comme s’il s’agissait de personnages d’une scène. Le terme « Mesnage des champs » désigne la façon dont on doit faire usage, « manier » la terre et dévoile le cœur même de la réflexion d’ Olivier de Serres.
https://fr.calameo.com/read/0008693138da6a0ee35ff Les hommes dont nous allons parler n'ont pas tous leurs noms dans nos rues. Et pourtant, tout comme nos rois, ils furent populaires et soulagèrent...
Le vicomte Alban de Villeneuve Bargemont fut le précurseur, fils d’une lignée de provençaux royalistes, il servit la France et l’Empire. Au retour des Bourbons, sa famille donna cinq excellents préfets à la Restauration, Louis XVIII disait : « Je voudrais avoir autant de Villeneuve qu’il y a de départements en France : j’en ferais quatre-vingt-six préfets! » Son activité le fit passer du monde agricole au département du Nord industriel en 1828. Ses enquêtes lui ouvrirent les yeux sur l’état malheureux où furent réduits la plupart des ouvriers du textile ; et, dans son premier rapport annuel à son ministre, il insère ses observations et ses suggestions sociales. Il constate que, sur moins d’un million d’administrés, il compte 150.000 indigents. Il entend par là, non pas seulement les vieillards ou les infirmes, incapables de travailler et réduits, de ce fait, à vivre de la charité privée, mais les ouvriers, tant agricoles qu’industriels. Villeneuve Bargemont demande : – le remplacement des taudis par des logements salubres (affaire des travaux publics) – l’épargne obligatoire – décongestion des centres urbains et observer l’exemple des colonies agricoles hollandaises Le ministre Martignac et Charles X mettent les projets en route mais la Révolution de 1830 y met un terme…Il y perdra dans la tourmente son poste de préfet mais restera député du Var. Désireux de comprendre les maux de son temps, il analyse le système économique issu de la Révolution dont il constate les effets néfastes. Il faut que les ouvriers possèdent quelques heures pour la vie de famille. L’absurde loi Le Chapelier votée par les révolutionnaires en 1791 prétendait libérer l’ouvrier de la tyrannie corporative, quand les ouvriers s’unissent, la répression tombe par les articles 414 et 416 du Code pénal républicain interdisant toute coalition… La classe ouvrière est en fait privé de la liberté du travail face à un patronat que la concurrence empêche d’être généreux. Joli résultat des « Droits de l’homme» et des thèses du Contrat Social…
SonTraité d’économie politique chrétienneparaît en 1834 et lui vaut d’être élu membre de l’Académie des sciences morales et politiques en 1845. Villeneuve-Bargemont constate qu’Adam Smith et ses disciples ne se sont préoccupés que de la production, inauguré en Angleterre, provoquant« la détresse générale progressive des populations ouvrières ». Ecoutons Antoine Murat« La protection de l’homme conduisait Villeneuve-Bargemont à une conception terrienne de l’économie, à l’opposé de la conception industrielle et mercantile de l’école anglaise et libérale ». Dans la préface de son traité, Villeneuve précise : « Le système anglais repose sur la concentration des capitaux, du commerce, des terres, de l’industrie ; sur la production indéfinie ; sur la concurrence universelle ; sur le remplacement du travail humain par les machines ; sur la réduction des salaires ; sur l’excitation perpétuelle des besoins physiques ; sur la dégradation morale de l’homme. Fondons, au contraire, le système français sur une juste et sage distribution des produits de l’industrie, sur l’équitable rémunération du travail, sur le développement de l’agriculture, sur une industrie appliquée aux produits du sol, sur la régénération religieuse de l’homme, et enfin sur le grand principe de la charité. »
La Synaxe du Chef des Armées Célestes, l'Archange Michel et les autres Puissances Célestes sans Corps : Les Archanges Gabriel, Raphaël, Uriel, Selaphiel, Jehudiel, Barachiel et Jérémie ont été établis au début du quatrième siècle au Conseil de Laodicée, qui a rencontré plusieurs années avant le premier Concile œcuménique. Le 35e Canon du Concile de Laodicée condamna et dénonça comme hérétiques le culte des anges comme dieux et dirigeants du monde, mais affirma leur propre vénération.
Une fête a été établie en novembre, le neuvième mois après mars (Avec lequel l'année a commencé dans les temps anciens) puisqu'il y a neuf rangs d'anges. Le huitième jour du mois a été choisi pour la Synaxe de tous les Pouvoirs du Ciel sans Corps depuis que le Jour du Jugement dernier a été appelé le Huitième Jour par les saints Pères. Après la fin de cet âge (caractérisé par ses sept jours de création) viendra le huitième jour, puis "le Fils de l'homme viendra dans sa gloire et tous les saints anges avec Lui" (Mt 25, 31).
Les rangs angéliques sont divisés en trois hiérarchies : le plus haut, le milieu et le plus bas.
La Hiérarchie la plus haute comprend: les Séraphins, les Chérubins et les Trônes.
Le SERAPHIM à six ailes (Flamboyant, Fiery) (Is 6:12) se tient le plus proche de tous à la Très Sainte Trinité. Ils flamboient d'amour pour Dieu et allument un tel amour chez les autres.
Le CHERUBIM aux yeux multiples (effusion de sagesse, illumination) (Gn 3,24) se tient devant le Seigneur après les Séraphins. Ils rayonnent de la lumière de la connaissance de Dieu et de la connaissance des mystères de Dieu. Grâce à eux, la sagesse est répandue, et les esprits des gens sont illuminés afin qu'ils puissent connaître Dieu et contempler sa gloire.
Les TRÔNES (Col. 1
:16) se tiennent derrière les Chérubins, portant mystérieusement et incompréhensiblement Dieu par la grâce qui leur a été donnée pour leur service. Ils sont les ministres de la justice de Dieu, donnant aux tribunaux, aux rois, etc. la capacité d'un jugement juste.
Le saint martyr Hieron est né dans la ville de Tiana dans la grande Cappadoce. Élevé par une mère pieuse, il était un bon Chrétien.
Les empereurs codirecteurs Dioclétien (284-305) et Maximien (284-305) ont envoyé un grand détachement militaire dirigé par Lysias en Cappadoce pour y éradiquer le Christianisme, et aussi pour enrôler des hommes sains et forts dans l'Armée impériale. Parmi ceux qui furent mis en service, Lysias ordonna également à ses hommes de préparer Hieron, qui se distingua par sa grande force physique et sa dextérité. Mais Hieron a refusé de servir les empereurs qui persécutaient les chrétiens. Quand ils ont tenté de le saisir par la force et de l'emmener à Lysias, il a pris un bâton et a commencé à battre les soldats qui avaient été envoyés pour l'amener. Les soldats se dispersèrent, honteux d'avoir été vaincus par un seul homme. Hieron se cacha alors dans une caverne avec dix-huit autres chrétiens. Lysias ne risquait pas de perdre ses soldats en prenant d'assaut la grotte.
Sur les conseils de Cyriacus, l'un des amis de Hiéron, Lysias leva le siège de la caverne et retira son détachement. Puis Cyriaque persuada Hiéron de ne pas opposer de résistance aux autorités. Lui et les autres nouveaux conscrits et soldats accompagnateurs ont été envoyés à la ville voisine de Melitene.
Bientôt, Hieron eut une vision dans son sommeil, dans laquelle son martyre imminent était annoncé. Lysias a dit aux soldats rassemblés à Melitene d'offrir des sacrifices aux dieux païens. Hiéron et trente-deux autres soldats refusèrent de le faire et confessèrent ouvertement leur foi en Christ. Alors le persécuteur donna l'ordre de battre les martyrs et de couper le bras d'Hiéron au coude. Après des tortures cruelles, ils ont jeté les martyrs en prison à peine vivants, et ils les ont décapités quatre jours plus tard.
Un certain chrétien riche et illustre du nom de Chrysanthus a racheté la tête de Hieron de Lysias. Quand les persécutions ont finalement cessé, il a construit une église sur le lieu où ils ont exécuté les saints martyrs, et il a placé la tête vénérable en elle. Les corps de tous les saints exécutés ont été secrètement enterrés par des chrétiens. Sous le règne de l'empereur Justinien, lors de la construction de l'église de Hagia Eirene (Sainte Paix), les vénérables reliques ont été découvertes et retrouvées intactes.