Kazac

        Le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) a reçu une lettre de la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (Mildt) après la diffusion le 3 mars dernier d'un épisode polémique de la série à succès Plus belle la vie, diffusée sur France 3.

        Dans cet épisode, très commenté sur les réseaux sociaux, l'un des personnages principaux donne le parfait mode d'emploi pour rouler un joint.

         "Le code de la santé publique prévoit que la présentation sous un jour favorable de l'usage d'un produit stupéfiant est pénalement répréhensible". Dans la lettre envoyée au Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA), la président de la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (Mildt), Danièle Jourdain-Menninger, n'y va pas par quatre chemins. Pour elle, l'épisode de Plus belle la vie, diffusé le 3 mars dernier sur France 3, fait clairement l'apologie du cannabis. Et pour cela, elle sollicite "l'avis du conseil".

Dans cet épisode de la populaire série de France Télévisions, à l'antenne depuis plus de dix ans, l'un des personnages principaux se livre à une démonstration - "très didactique et prolongée" selon la présidente de la Mildt - de roulage de joint.

Cours sur le cannabis par Plus Belle la Vie © febryce

Dans cette lettre, la présidente de l'organisme de lutte contre la drogue rappelle que, selon une délibération du CSA datant de 2008, les chaînes de télévision ne peuvent montrer "une prise de drogue illicite que lorsque le scénario le justifie" et elles doivent "veiller à ce que ce dernier (le scénario) ne soit pas incitatif, notamment vis-à-vis des jeunes téléspectateurs". Sur les réseaux sociaux, cet épisode a en tout cas provoqué des réactions, souvent outrées.

source : www.franceinfo.fr/societe/apologie-de-la-drogue-dans-plus-belle-la-vie-le-csa-saisi-1346671-2014-03-10

        « C’est le quotidien d’une petite école du nord de Charleroi [Wallonie - NDCI], au sein de laquelle la majorité des écoliers sont musulmans. Il n’est plus question, pour les parents, de préparer des tartines au jambon pour leur enfant, ni même… de glisser un bonbon dans la boîte à tartine. Les témoignages de ce genre affluent.

Les repas servis à la cantine de cette école sont halal. Cela ne surprend plus, car c’est devenu la règle dans les écoles à majorité musulmane. Plus grave, les bonbons semblent désormais également interdits. Et la raison n’est pas qu’ils favorisent les caries.

« Les enfants doivent manger leurs bonbons en cachette, sinon les remarques tombent. La raison ? Il y a de la gelatine dans les confiseries, ce qui n’est pas halal », déplore Laurence, prénom d’emprunt, une maman sous le coup de l’indignation.

« Mon fils vit dans son monde, donc il ne se laisse pas intimider, mais d’autres enfants n’en mangent plus. Ils reçoivent des remarques de leurs copains de classe. Leurs parents n’osent tout simplement plus en mettre dans la boîte à tartine », poursuit-elle. Des témoignages de cette nature sont de plus en plus fréquents.

        Il y en a assez, de ces théologiens de l’aberration cosmopolite, transgenre et transfrontière, qui prodiguent, du haut de leur chaire subventionnée, des leçons de rééducation morale aux« déviants » populistes et forcément racistes.

Le nouvel oukase sémantique tient, désormais, dans l’impérative proscription de se réclamer de souche française. Alain Finkielkraut vient ainsi d’être dénoncé auprès du CSA, pour avoir osé défendre les « Français de souche », de même que Denis Tillinac, à l’occasion de son jubilatoire éloge de la liberté intitulé Du bonheur d’être réac. Dans l’émission « On n’est pas couché » de l’inoxydable Ruquier, Denis Tillinac a été sommé, séance tenante, de se justifier devant le Kommissaire stalinien, Aymeric Caron, quant à son appartenance « souchiste » !

Français de souche. Voilà un syntagme qui, aussi longtemps que l’auteur de ces lignes s’en souvienne, ne faisait guère débat, ni polémique, il y a encore quinze ou vingt ans. L’on pouvait se dire Breton, Périgourdin ou Vosgien de souche, sans que de sournois Torquemada aux petits pieds balancent l’épuré à la vindicte politico-médiatique.

     Désormais bien établie dans le paysage de la réinformation, cette cérémonie satirique distingue les journalistes les plus habiles à désinformer pour servir le Système.

Et cette année 2013 a été chargée ! De nouvelles catégories ont d’ailleurs été créées, l’imagination des médias pour donner une version partiale de la vérité étant sans limite.

Le Bobard républicain (à venir) par exemple, fait quasiment l’unanimité chez les bobardeurs professionnels ! Il s’agit, dans un réflexe pavlovien de protection du Système, de s’alarmer d’un retour de la bête immonde, no-pasaran-ventre-encore-fécond-qui-rappelle-les-heures-les-plus-sombres-de-notre-histoire, et d’en profiter pour, ni vu ni connu, maquiller la réalité afin de lui donner une moue de circonstance : digne, concernée, grave, républicaine… légendaire… bidon !

        Les Saints-Martyrs Theopemptus et Théonas ont soufferts à Nicomédie en 303. St Theopemptus était Evêque de Nicomédie au temps de Dioclétien. Parlant contre l'idolâtrie, il a défendu la foi dans le Christ. Pour cette raison, il est devenu l'une des premières victimes de la persécution de Dioclétien.

       Le saint a refusé d'obéir à l' ordre de l'Empereur d'adorer une idole d'Apollon. St Theopemptus a été jeté dans un four chauffé au rouge, mais par la puissance de Dieu, il est resté vivant. L'Empereur est venu au four par nuit avec un détachement de soldats, et il y vit le Saint vivant et priant Dieu. Attribuant le miracle de la magie, Dioclétien a pensé à épuiser St Theopemptus en le privant de nourriture et de boisson pendant 22 jours, mais le martyr a été préservé par la volonté de Dieu.

       L'Empereur et le célèbre Sorcier Théonas ont surmonté le pouvoir magique censé de l'évêque Theopemptus. Théonas a préparé un poison pour St Theopemptus, l'a mis dans un petit gâteau, et lui offrit à manger. Le poison n'a pas fait de mal du tout à St Theopemptus. Puis Théonas a essayé un poison encore plus fort sur ​​le Martyr. Voyant que St Theopemptus est resté indemne, il est venu à croire en Christ. Ils l'ont jeté en prison avec le saint Evêque, qui a enseigné et baptisé, lui donnant le nom SYNÉSIOS (Qui signifie «Plein de compréhension" ) .

        A l'aube Dioclétien a convoqué St Theopemptus, et de nouveau essayé de le tourner à l'impiété païenne . Voyant que l'évêque est resté ferme dans sa foi , il lui a fait subir de nombreuses tortures graves , après que le saint a été décapité . Le saint martyr Théonas refusé de sacrifier aux idoles , de sorte qu'il a été enterré vivant dans un fossé profond . Cela s'est produit à Nicomédie en 303 .