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19 février 2011 6 19 /02 /février /2011 19:20

      2972409175 2 3 4ploniso    Saint Théodose le Grand a vécu aux cinquième et sixième siècles, et fut le fondateur du Monachisme cénobitique. Il est né en Cappadoce, de parents pieux. Doté d'une voix magnifique, il travaillait à la lecture avec zèle et le chant d'église. St Théodose pria avec ferveur pour que le Seigneur le guide sur la voie du salut. Dans ses premières années il a visité la Terre Sainte et a rencontré St Simeon le Stylite (1er Septembre), qui le bénit, et prédit l'avenir du service pastoral pour lui.
 
           Avec le désir de la vie solitaire, Saint Théodose s'est installés en Palestine dans une grotte déserte, dans laquelle, selon la tradition, les trois mages avaient passés la nuit, étant venu pour adorer le Sauveur, après sa naissance. Il ya vécu pendant 30 années dans l'abstinence et la grande prière incessante. Les gens affluaient à l'ascète, désireux de vivre sous sa direction. Lorsque la grotte ne pouvait plus contenir tous les moines, saint Théodose a prié pour que le Seigneur Lui-même d'indiquer un lieu pour les moines. Prenant un encensoir avec du charbon à froid et de l'encens, le moine a commencé à marcher dans le désert.

          À un certain endroit du charbon de bois allumé par lui-même et la fumée de l'encens ont commencés à augmenter. Ici, le Moine a créé le premier Monastère cénobitique, ou Lavra (sens «large» ou peuplée »). Bientôt la laure de saint Théodose est devenu célèbre, et jusqu'à 700 moines se sont réunis à elle. Selon le testament final de St Théodose, la laure rendu service au prochain, accorder une aide à l'abri pauvres et prévoyant des vagabon

 

         St Théodose était extrêmement compatissant. Une fois, quand il y avait une famine en Palestine et en une multitude de personnes se sont rassemblées dans le monastère, le moine donna des ordres pour permettre à chacun dans l'enceinte du monastère. Ses disciples ont été gênés, sachant que le monastère n'a pas les moyens de nourrir tous ceux qui étaient venus. Mais quand ils entrèrent dans la boulangerie, ils ont vu que par les prières de l'abba, il a été rempli avec du pain. Ce miracle a été répété à chaque fois que saint Théodose voulait aider les plus démunis.
 

 

          Au Monastère de saint Théodose construit une maison pour la prise en étrangers, infirmeries séparées pour les moines et les laïques, et aussi un refuge pour les mourants. Voyant que les gens de diverses terres se sont réunis à la laure, le saint des dispositions pour les services dans les différentes langues: grec, géorgien et arménien. Tous rassemblés pour recevoir les saints mystères dans la grande église, où les services divins étaient chantés en grec.

 

          Pendant le règne de l'empereur byzantin Anastase (491-518) il y eut l'hérésie de Eutychius et Sévère, qui ne reconnaît ni les sacrements, ni clergé. L'empereur a accepté les fausses doctrines, et les orthodoxes ont commencé à souffrir la persécution. St Théodose se tenait fermement dans la défense de l'orthodoxie et a écrit une lettre à l'empereur au nom des moines, dans lequel ils l'ont dénoncé et réfuté l'hérésie avec les enseignements des conciles œcuméniques. Il a affirmé par ailleurs, que le désert, les habitants et les moines seraient fermement soutenir l'enseignement orthodoxe. L'empereur fait preuve de retenue pendant une courte période, mais ensuite il a renouvelé sa persécution de l'Eglise orthodoxe. Le saint Elder a ensuite montré un grand zèle pour la vérité. Quitter le monastère, il vint à Jérusalem et dans l'église, il se tenait sur le haut lieu et cria pour tous d'entendre: «Celui qui ne respecte pas les quatre Conciles œcuméniques, qu'il soit anathème» Pour cette audacieuse acte le moine a été envoyé en prison, mais il revint bientôt après la mort de l'empereur.

         Saint Théodose a accompli des guérisons et de nombreux et d'autres miracles durant sa vie, à venir en aide aux nécessiteux. Grâce à ses prières une fois détruit, il les criquets dévastateurs des champs en Palestine. En outre, par son intercession, les soldats ont été sauvés de la mort, et il a aussi sauvé ceux qui périssent dans des naufrages et ceux perdus dans le désert.

 

         Une fois, le saint donna l'ordre de la grève des semandron (un morceau de bois frappe avec un maillet), de sorte que les frères se réunissaient à la prière. Il leur a dit, «La colère de Dieu vient de l'Est." Après plusieurs jours il est devenu connu qu'un fort tremblement de terre avait détruit la ville d'Antioche à l'heure même où le saint avait convoqué les frères à la prière.
 

 

         Avant sa mort, saint Théodose convoqua pour lui trois évêques aimé et leur révéla qu'il allait bientôt partir pour le Seigneur. Après trois jours, il mourut à l'âge de 105 ans. Le corps du saint fut enterré avec respect dans la grotte dans laquelle il vivait au début de ses exploits ascétiques.

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19 février 2011 6 19 /02 /février /2011 19:18

    2972405957 2 3 vhh9cTCz     Le cinquième jour de l'après-Fête de la Théophanie tombe le 11 Janvier. La plupart des hymnes de cette période glorifient le Christ comme Dieu qui sanctifie les eaux du Jourdain en se faisant baptiser en elles.

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19 février 2011 6 19 /02 /février /2011 19:17

 

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19 février 2011 6 19 /02 /février /2011 19:16

           Saint Marcien, Prêtre de la grande Église, est né à Rome et dans sa jeunesse, il a reçu une éducation de premier ordre à Constantinople. Après la mort de ses parents, St Marcien utilisé son héritage sur la construction, de rénovation et d'embellissement des églises. Ainsi, il a construit une église dédiée à la sainte Anastasia Martyr (Décembre 1922), richement embelli, et avait les saintes reliques du saint qui lui sont transférées. Il a également construit une église du grand martyr Irene (5 mai), et l'église de St-Isidore.

 

         Sa pureté morale et l'ascèse strictes ont été ressenties par ceux qui étaient paresseux et avares, pour qu'ils considèrent sa vie comme une critique implicite de leur propre manque de vertu. Toutefois, sa douceur et le silence ont surmonté leurs calomnies et les amena à l'attention du Patriarche, qui a ordonné St Marcien Prêtre et l'a nommé trésorier de l'Eglise de Constantinople.

         De sa richesse St Marcien distribuait des aumônes généreuses, et se distingua par la non-convoitise, se refusant à tout. En accord avec le commandement du Sauveur, il n'a même pas avoir un ensemble de vêtements, dont il pourrait avoir besoin, il doit être pris dans les intempéries. Ayant reçu un don de miraculeuse, St Marcien guéri les malades et chasser les démons. St Marcien mourut entre 472-474 et fut enterré au monastère de St Jean le Précurseur à Constantinople.

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19 février 2011 6 19 /02 /février /2011 18:00

   changementclimatique      A partir du 7 décembre se tient à Copenhague le Sommet sur le changement climatique, en présence de la plupart des chefs d’Etat et de gouvernement des grandes pays de la planète : il est vrai que les enjeux sont d’importance puisqu’il s’agit de chercher et de trouver des solutions aux problèmes posés par des activités humaines énergivores et polluantes dont les conséquences ne sont pas toutes connues même si certaines apparaissent hautement et dangereusement probables… En fait, les tractations entre puissances ont déjà commencé depuis quelques mois, et celles-ci sont d’ailleurs fort révélatrices des nouveaux rapports de force sur la planète : Chine et Inde sont les pays les plus courtisés par les pays européens pour limiter leurs rejets de gaz à effet de serre, alors même que les puissances émergentes sont en pleine ascension économique ou, plutôt, en pleine affirmation de leur nouvelle puissance, et qu’ils voient les négociations sur le climat comme une manœuvre des pays occidentaux destinée à freiner, au nom de grands principes moraux et environnementaux, cette redistribution des cartes en cours sur la planète.
 
          Ce Sommet va-t-il faire avancer les choses ? Les pays européens, et leurs opinions, ont pris conscience du problème climatique. Cela signifie-t-il qu’ils sont prêts, les uns et les autres, à faire quelques « sacrifices » ? Malgré les intentions affichées et les grandes promesses, malgré les attitudes plus responsables des Etats comme des populations, il n’est pas certain que les mesures destinées à limiter les rejets de gaz à effet de serre soient populaires et bien acceptées par les consommateurs : le cas récent de la taxe carbone en France désapprouvée par une grande partie de l’opinion montre la difficulté qu’il y a à passer de la déclaration de principe à la pratique. Et pourtant ! Si elle n’est pas entièrement satisfaisante, cette taxe a au moins le mérite de pousser à la recherche de nouveaux modes de déplacement et à une meilleure gestion (collective comme individuelle) de ceux-ci pour diminuer leur impact environnemental. On imagine aisément que, si cette mesure anodine et relativement indolore (cela dépend évidemment des revenus des personnes concernées) a tant de mal à passer, des mesures plus avancées pour limiter les consommations d’énergies, de matières premières, etc., risquent de se heurter à la bronca des consommateurs et de la grande distribution. La difficulté est surtout de mettre en place une politique de réduction des consommations qui ne soit pas considérée comme une dégradation d’un niveau de vie, trop souvent confondu encore avec la quantité plutôt qu’avec la qualité.


          La Chine, l’Inde et le Brésil (ce dernier pays s’affirmant lui aussi comme une nouvelle puissance économique soucieuse de jouer sa partition écologique) sont bien conscients des problèmes climatiques de demain, mais ils ne veulent pas sacrifier leur développement actuel à des contraintes dont ils estiment qu’elle répondraient, tardivement d’ailleurs, à des attitudes de consommation et de gaspillage des pays du Nord, et ils s’appuient pour argumenter leur défense sur le niveau de rejet de gaz à effet de serre, non par pays (car, dans ce cas, la Chine vient de ravir la première place aux Etats-Unis...) , mais par habitant, car, dans ce cas-là, ils sont largement en deçà des niveaux des pays du Nord : « l’empreinte écologique » des habitants de nos pays d’Europe ou occidentaux est très supérieure, non seulement à celle des Chinois ou des Indiens, mais à ce qui est raisonnable pour assurer la survie même de la planète.
 
          Il y a aussi l’attitude ambiguë des Etats-Unis qui, malgré le succès des théories d’Al Gore sur le changement climatique et des films catastrophes sur ce sujet comme « Le jour d’après », continuent à penser que leur modèle de développement et de consommation « n’est pas négociable » selon la formule célèbre de l’ancien président Bush : M. Obama se rend à Copenhague en sachant fort bien que les mesures qui y seront prises ont peu de chances d’être ratifiées par le Sénat états-unien… Ce double jeu des Etats-Unis risque néanmoins d’être peu apprécié par les autres puissances mais il n’est pas non plus certain, à moyen terme, que cette stratégie soit payante, ne serait-ce que parce que les Etats-Unis ont de moins en moins les moyens de leur politique… et de leur consommation !
 
          Quant à la France, si les intentions de M. Borloo et celles avancées par le Grenelle de l’environnement sont fort honorables, il n’est pas certain, là encore, que la volonté politique puisse, ou veuille, s’imposer (et parfois s’opposer) aux intérêts économiques des grandes sociétés et de la grande distribution dont la responsabilité dans les processus de production et de consommation est encore trop négligée, à tort : « l’hyperconsommation » qui est désormais le propre d’une société de consommation comme la nôtre continue de développer sa logique périlleuse à terme, autant sur le plan environnemental qu’elle l’est sur le plan moral ou spirituel, celle du « Consommer pour produire », fort bien dénoncée en son temps par l’essayiste royaliste Pierre Debray. D’autre part, sa stratégie de « séduction » poursuit ses ravages, en particulier dans les jeunes générations : au-delà du symbolique téléphone portable aux déclinaisons multiples et constamment renouvelées, devenu un « besoin » quand il n’était à l’origine qu’un « gadget », c’est tout un système de pensée et de valeurs qu’il faut remettre en cause, et il n’est pas sûr que nos sociétés en soient capables ou en aient la volonté. Dans ce cas, c’est au Politique d’intervenir et d’agir, « avant qu’il ne soit trop tard ». Mais, une République qui s’appuie sur des clientèles électorales qu’il faut savoir ménager pour conserver le Pouvoir peut-elle engager de grands projets environnementaux sur le long terme et faire comprendre que quelques efforts sont nécessaires pour préserver ce qui doit l’être ? D’autre part, peut-elle s’engager pour une politique de sobriété consumériste quand la tête de l’Etat elle-même semble plus préoccupée par les apparences et le « bling-bling » que par les « œuvres de la nature » ?
 
          Copenhague, en somme, n’est qu’une étape dans un processus plus long et lent de prise de conscience générale du fait que « les hommes ne peuvent commander à la nature qu’en lui obéissant » : mais c’est au Politique de jouer son rôle de protection des intérêts communs, au sein de chaque Etat ou groupe d’Etat, au contact et avec le consentement (qu’il faudra susciter et cela ne sera pas toujours facile…) des populations concernées. Aux Etats et aux gouvernements, et non à une dangereuse gouvernance mondiale qui se parerait des vertus écologiques pour mieux imposer sa globalisation qui, en définitive, oublierait ou nierait ce qui fait la nature des hommes et, au-delà, de leur environnement…

Jean-Philippe CHAUVIN

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19 février 2011 6 19 /02 /février /2011 01:43

Ankara, 25 mars

 

     186322212     Le ministère turc de la Culture et du Tourisme a autorisé de célébrer un office par an dans une église arménienne se trouvant sur l'île d'Akdamar sur le lac de Van (sud-est du pays), ont annoncé jeudi les autorités de la province de Van.

          "La décision d'Ankara d'autoriser des offices à l'église d'Akdamar constitue un nouveau pas vers la normalisation des relations turco-arméniennes", estime la chaîne CNN-Turk.

          Auparavant les autorités turques avaient rejeté toute possibilité de reprise des offices dans l'église, la qualifiant de musée et non pas de lieu de culte.

           Le premier office sera célébré en septembre 2010, a déclaré Munir Karaoglu, gouverneur de la province de Van à la chaîne NTV. Selon lui, la réouverture de l'église était principalement prônée par des représentants du tourisme.

          L'église d'Akdamar a été construite entre 915 et 921 et restaurée il y a quelques années par des spécialistes arméniens grâce aux fonds du ministère turc de la Culture et du Tourisme.

         L'Arménie et la Turquie n'entretiennent pas de relations diplomatiques bilatérales depuis l'indépendance de l'Arménie en 1991 et la frontière commune entre les deux pays est fermée depuis 1993 à l'initiative d'Ankara. Les relations complexes entre les deux pays s'expliquent par une série de facteurs, notamment par le soutien d'Ankara à la position azerbaïdjanaise sur le conflit du Haut-Karabakh et par la réaction violente de la Turquie à la reconnaissance internationale du génocide arménien de 1915 dans l'Empire ottoman.

       En octobre 2009 l'Arménie et la Turquie ont signé en Suisse des protocoles sur l'établissement des relations diplomatiques, qui doivent être ratifiés par les parlements des deux pays.

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19 février 2011 6 19 /02 /février /2011 01:40

    thumb.small.h 20 2316805 12906192301     Quelques citations signifiantes de la candidate à la présidence du FN sponsorisée par les médias du Système.

« Je suis très émue par la discrimination à l’em­bauche qui touche les Français issus de l’immigration, qu’il faut appeler des Français. »
Marine Le Pen, Le Point, 12 janvier 2006.

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19 février 2011 6 19 /02 /février /2011 01:38

Les réseaux ferrés de Paris intra-muros abritent à eux seuls 50,3% des attaques.

     thumb.small.7b2c1eec 137b 11e0 9048 390221b44052     Ils ont augmenté de 39,3% sur le réseau ferré d'Ile-de-France. Les policiers invoquent un véritable «effet iPhone ».

          Le nombre des vols avec violences explose dans les transports en communs d'Ile-de-France. Selon une note de la Direction de sécurité de proximité de l'agglomération parisienne (DSPAP) datée de mercredi et que Le Figaro s'est procurée, quelque 9.501 agressions de ce type ont été recensées dans les onze premiers mois de l'année, soit un bond de 39,3% par rapport à la même période de 2009 qui avait comptabilité 6.821 faits.

L'«analyse territoriale» enseigne que les réseaux ferrés de Paris intra-muros sont touchés de plein fouet par le phénomène. Ils abritent à eux seuls 50,3% des attaques. Dès que l'on s'éloigne de cet épicentre, les agressions se font plus éparses, frappant les transports de la petite couronne à 27,4% et 22,3% pour ceux de la grande couronne. «Plus des deux tiers des vols avec violences commis dans la capitale sont des vols à l'arraché, 21,8% sont des vols perpétrés avec des violences physiques et 10,7% sont des extorsions», décrypte la note de la DSPAP.

Ces tendances statistiques préoccupantes sont directement imputables à ce que la Préfecture de police a baptisé «l'effet iPhone» dans un second document interne daté du 22 décembre. L'analyse de la délinquance par type d'objets volés sur les lignes du métro, du RER et du Transilien est sans appel. Sur les 2.813 biens et effets personnels volés le mois dernier aux voyageurs, pas moins de 1.395 étaient des téléphones portables, soit une affaire sur deux. «À eux seuls, les modèles iPhone (3G ou 4) représentent 27,59% du nombre total d'objets dérobés», précise la note. S'agissant du seul modèle iPhone 4, «le plus récent et le plus recherché», selon la police, il y a eu 297 appareils volés, soit 69 de plus que le mois précédent. «Novembre 2010 confirme les tendances structurelles dégagées en octobre», constate-t-on à la Préfecture de police où une vaste campagne de prévention, lancée avec les transporteurs, va permettre de distribuer 50.000 «flyers», de petits tracts très pédagogiques et concis, rédigés en plusieurs langues à l'adresse des voyageurs à la recherche d'informations pratiques.

Sur le volet répressif, la brigade des réseaux ferrés, qui dispose notamment d'une dizaine de patrouilles en civil à un instant T sur le réseau, a été très sollicitée cette année, élucidant 538 vols avec violences conduisant au placement en garde à vue de 697 suspects depuis le début de l'année. Soit 412 de plus que l'année précédente, avec un taux d'élucidation qui frise désormais les 33%. «Les voleurs sont souvent de jeunes individus venant en bandes depuis la banlieue vers Paris pour commettre des vols d'opportunité», explique un responsable policier qui invite les voyageurs à un «minimum de prudence quand ils pianotent sur l'écran tactile de leur smartphone». C'est une tentative de vol d'un téléphone qui est à l'origine de la mort d'une femme de 27 ans, poussée violemment lundi après-midi à la station Étienne-Marcel car elle entravait la course du fuyard. La victime, d'origine vietnamienne, a dévalé cinq ou six marches, tombant la tête la première en bas des escaliers.

En proie à de vives convulsions, elle est décédée dans la soirée des suites d'un traumatisme crânien. «Il est rarissime qu'une agression de cette nature finisse aussi tragiquement», confiait le commandant Bruno Terrenzi, du département d'investigations judiciaires de la brigade des réseaux ferrés (BRF), chargée de l'enquête. Il faut remonter à l'été 2007 pour retrouver semblable drame. À la veille du 15 août, le journaliste sportif italien Sergio Vantaggiato, 40 ans, s'était fait arracher un sac par deux voleurs qu'il avait pris en chasse avant de trébucher mortellement à la station Bir-Hakeim. À l'époque, cette station était l'une des dernières à ne pas être équipée de caméras mais la brigade criminelle avait quand même pu élucider l'affaire. Aujourd'hui, 80% des élucidations se font grâce à la vidéo.

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19 février 2011 6 19 /02 /février /2011 01:36

    thumb.small.imagesCA7ZRMBM     Les forces turques de la zone occupée de Karpasia dans le Nord de Chypre ont, pour la première fois depuis 36 ans, interdit aux chrétiens de fêter Noël.

Le matin de Noël, samedi 25 décembre 2010, le Père Zacharias et un grand nombre de personnes se sont rendus à l'église de Saint Sinesios à Rizokarpaso (photo de gauche) pour commencer les matines de Noël.

           Mais des membres des forces d'occupation se sont précipités à l'église pour y interrompre les vigiles, ont exigé du prêtre qu'il retire ses habits liturgiques et ordonné à tout le monde de quitter l'église. Après le départ forcé des fidèles, les portes de l'édifice ont été scellées.

           La même mésaventure est arrivée à l'église de la Sainte Trinité où le Père Konstantinos disait le premier office du cursus de l'office divin.

           L'archevêque de l'Eglise orthodoxe de Chypre, Chrysostomos II a confié avoir été attristé par l'attitude provocatrice des forces d'occupation turques.

Côme Dubois (source : Greek Reporter)

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19 février 2011 6 19 /02 /février /2011 01:27

Bagdad, 25 mars

 

   186321688      Sur fond de dégradation des relations avec Tripoli, Bagdad pourrait boycotter le 32e sommet de la Ligue arabe prévu les 27 et 28 mars dans la ville libyenne de Syrte, a déclaré à la chaîne Al-Iraqiya le porte-parole du gouvernement irakien Ali Dabbagh.

         Cette décision pourrait être prise compte tenu de "l'inefficacité évidente" des rencontres panarabes et "en premier lieu" du fait que "ce sommet sera présidé par le leader libyen Mouammar Kadhafi", a-t-il affirmé.

          Le mécontentement de Bagdad tient au comportement du "guide de la révolution libyenne" qui a rencontré il y a deux jours des représentants de la résistance irakienne et du parti de Saddam Hussein, Baas, au pouvoir en Irak jusqu'en 2003.

           Lors de la rencontre, M.Kadhafi a promis de faire connaître les revendications de ses interlocuteurs aux délégués du sommet. Le porte-parole du gouvernement irakien a qualifié cette promesse "d'ingérence grossière et inacceptable dans les affaires intérieures de l'Irak".

         "A l'heure actuelle, l'attention du gouvernement irakien est centrée uniquement sur les problèmes intérieurs du pays", a ajouté M. Dabbagh.

          L'Irak, un des fondateurs de la Ligue arabe, devait être représenté au sommet de Syrte par le ministre des Affaires étrangères Hoshyar Zebari.

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